jeudi, juillet 17, 2008

Dossier: Morgentaler, avortement et franc-maçonnerie

À l'occasion de la remise de l'Ordre du Canada à l'avorteur Henry Morgentaler pour l'ensemble de son "oeuvre", j'ai pensé qu'il serait bon de rapeller certains faits sur ce sujet afin que les lecteurs puissent mieux juger l'action de la franc-maçonnerie sur la société à partir d'un cas concret.

(extraits d'articles de journaux):

La franc-maçonnerie sollicite les femmes

Le Soleil - 1993-11-14

"Deux fois par mois, les francs-maçons de Québec, hommes et femmes, doivent se rendre à Montréal pour discuter de grands débats comme l'éducation ou l'avortement"

La franc-maçonnerie L'âge de la lumière
Voir, 23 février 1995

"En dehors des tenues, les francs-maçons ont quelquefois des travaux écrits à préparer sur divers sujets (l'avortement, l'euthanasie, la répartition des richesses...). Ils doivent aussi propager les idées maçonniques, qui sont souvent progressistes, dans le monde profane, afin de participer à l'avancement de la société"

"Je pensais aux grands progrès impulsés par la franc-maçonnerie française comme le droit à
l'avortement ou la laïcisation, explique Gloria Escomel, rentrée dans la loge Le Droit Humain pour poursuivre sa lutte féministe."

Richard Martineau: "Les francs-maçons: La gauche caviar"

(Voir, 12 mars 1992)

"Nous avons lutté pour le libre choix en matière d'avortement et de contraception"


Morgentaler était aussi un membre fondateur de la ligue des droits de l'homme du Québec. Le fondateur était un certain J-Z Léon Patenaude qui n'était rien de moins que le chef des francs-maçons du Grand Orient de France. La ligue a beaucoup milité pour la légalisation de l'avortement. Par exemple, en 1974, la ligue publie un livre intitulé "La société québécoise face à l'avortement".

www.liguedesdroits.ca/documents/bulletins/bulletin_octobre2003/bulletin_oct03.pdf
page 6

"La Ligue des droits de l’homme, devenue Ligue des droits et libertés en
1978, a été créée en 1963 par un groupe d’avocats et d’intellectuels prestigieux,
autant anglophones que francophones, avec une représentation importante de la communauté juive. Parmi les fondateurs, on retrouve Frank Scott, professeur de droit à l’université McGill, figure dominante de la lutte pour les libertés civiles au Québec et au Canada depuis les années 30, Pierre-Elliot Trudeau, Jacques Hébert, Jean Marchand, Thérèse Casgrain, Claude-Armand Sheppard, Henri Morgentaler, Allan Glaser, Gordon
Echenberger, Georgres Wesley, Jean Charles Harvey, René Hurtubise, Bernard Landry, Alban Flamand, Yves Michaud, Leon-Z. Patenaude."

Francs-maçons et contraception:

Journal l'action 16 fevrier 1968 page 4
http://bibnum2.banq.qc.ca/bna/action/

Petits échos de la presse étrangère
Francs-maçons et "pilule"
Recemment, les lecteurs de "FRANCE-DIMANCHE" (1.1.68) pouvaient lire sous le titre: "les secrets des Francs-Maçons revelés", un article qui laisse songeur et, s'il s'appuie sur des faits exacts devrait nous faire pressentir d'ou soufflent certains vents "erotico-libéralisateurs"... Jean Cholon écrit notamment ce qui suit :
Tous les francs- maçons, de l'Assemblee (nationale française) ne sont pas dans l'opposition. Cela va sûrement vous étonner, mais si la "pilule" a été autorisée en France, c'est grâce à la franc-maçonnerie. Le "frère" qui a le plus ardemment lutté pour son autorisation est un député de la Ve République, M. Lucien Neuwirth.
Et si les Françaises peuvent aujourd'hui utiliser librement la pilule. elles le doivent à des femmes francs-maçonnes.
Oui, il y a des femmes francs-maçonnes et ce sont celles de la grande loge féminine qui les premières en France, ont mis la pilule au programme de leurs travaux en 1954. Depuis, elles n'ont cessé de se battre pour qu'elle soit librement mise en vente.
J.-P. L.

Voir aussi l'excellent documentaire "voyage au pays des francs-maçons", où le rôle de la fraternelle des parlementaires français dans la légalisation de l'avortement en France est prouvé.
http://www.dailymotion.com/video/xtnmg_voyage-au-pays-des-francs-macons-1
http://www.dailymotion.com/video/xtnmg_voyage-au-pays-des-francs-macons-2

2 commentaires:

  1. René Lévesque le mondialiste (le seul avenir du monde, c'est d'être un seul pays.)

    René Lévesque et L'avenir du monde
    L'action catholique 12 fev. 1962 p.3
    http://bibnum2.banq.qc.ca/bna/actioncatholique/

    Montréal (PC)
    M. René Lévesque, conférencier au banquet de clôture des Nations-Unies modèles, au Centre social de l'Université de Montréal a affirmé samedi que le seul avenir du monde, c'est d'être un seul pays.
    Il a de plus dénoncé une certaine confusion des valeurs qui fait qu'on place le respect des choses au-dessus du respect des individus.
    Le ministre des Richesses naturelles du Québec a abordé les question de Cuba et du programme américain de l'Alliance du progrès. Il a déclaré que nous avons assisté à Cuba à une exploitation de personnes au même titre que s'il s'était s'agit de choses. Il a souligné les lacunes du programme de l'Alliance pour le progrès qui ne répond pas, selon lui, aux exigences essentielles et fondamentales des pays de l'Amérique latine, la nécessité première étant d'éduquer les pays sous-développés avant d'entreprendre quelque action que ce soit.

    ---------------------------------------
    Et vous voulez me faire croire que ce gars là était nationaliste?

    RépondreEffacer
  2. Notez que depuis la parution de ce texte, l'article 93 de L'AANB
    garantissant l'enseignement chrétien a été abolit en 1997 par les grands "adversaires" que sont la péquiste Pauline Marois et le libéral Stéphane Dion. La constitution chrétienne de 1867 perdait ainsi sa dernière substance devant la constitution mondialiste des chartes de Trudeau.

    SERVIAM SEPTEMBRE-OCTOBRE 1978
    SOUVERAINETÉ-ASSOCIATION: VICTOIRE DU MONDIALISME SYNARCHIQUE

    Par sa nouvelle orientation, René Lévesque enfourche le tandem conduit
    par P. E. Trudeau.

    Le brusque freinage que le chef du Gouvernement de la province de
    Québec vient d'appliquer aux troupes du Parti québécois, qu'il avait
    pourtant lui-même lancées dans une mutinerie anticonstitutionnelle,
    avec le but bien avoué de saborder le Canada (crime de lèse-majesté)
    et d'ériger sur ses ruines un Québec républicain péquino-marxiste, a
    créé surprise et étonnement chez analystes et politicologues, tout en
    laissant un peu perplexe le monde des affaires.

    Mais les plus affectées par ce bloquage subit des freins de la machine
    péquiste, sont les "troupes d'élite" (peut-il y avoir une élite de
    l'hypocrisie, du mensonge et de la perversion?) qui, frappées de
    stupeur, sont dans la consternation, la confusion.

    M. René Lévesque a beau s'essoufler en explications sur sa nouvelle
    politique étapiste, ridiculiser, fustiger et condamner les opposants à
    cette nouvelle orientation, qui sont ceux-là mêmes qui, les premiers,
    semèrent dans notre province, la plante empoisonnée du séparatisme,
    dont la prolifération lui permit l'accession au pouvoir, le P.M. devra
    faire davantage s'il veut vraiment réussir à calmer les esprits. Et ce
    qui ajoute davantage à leur désarroi, ce sont les raisons équivoques
    fournies par le Chef péquiste et son maître d'oeuvre Claude Morin,
    (ejusdem farinae) qui ne sont qu'un tronquage de l'interprétation de
    l'article premier du programme du P.Q.

    Peut-être M. Lévesque, afin de rétablir un peu de discipline dans les
    rangs de ses troupes, présentement affectées par de nombreuses
    défections et dissensions, devra-t-il sortir, des boules à mites, son
    uniforme d'officier de l'année américaine et gallonné de ses faux
    gallons de faux lieutenant, obtenus faussement par l'entremise d'un
    faux Français, le Juif Pierre Lazareff, (Peter Desbarats, p.62)
    réussira-t-il à réaffirmer son leadership et son autorité gravement
    contestés?

    Le malaise peut assez facilement s'expliquer. Représentez-vous une
    équipe parmi laquelle figurent bon nombre d'aventuriers,
    d'extrémistes, de marginaux de toutes sortes qui, à force de
    mensonges, de calomnies, de subterfuges, de sophismes, exploitent et
    leurrent les sentiments, la bonne foi d un grand nombre de personnes
    et réussissent à les faire monter à bord d'un train baptisé
    INDÉPENDANCE, dont la destination promise et inéluctable est SÉCESSION
    DU QUÉBEC DU RESTE DU CANADA. Après un long voyage d'une dizaine
    d'années au cour duquel tous ces passagers durent besogner et trimer
    dur, en plus d'avoir à payer pour alimenter la locomitive et
    entretenir le wagon-salon, où logent les principaux officiers, voilà
    que le chef de la locomotive (qui durant tous le trajet eut le temps
    de répudier son épouse) décide, avec son chauffeur, sans consulter les
    passagers, d'aiguiller le train dans une autre direction et l'engage
    sur la voie de la SOUVERAINETE-ASSOCIATION, ramenant ainsi les
    passagers presqu'à leur point de départ. Car le mot souveraineté-
    association qui a remplacé les mots séparatisme et indépendance et qui
    est devenu le slogan du P.Q, est une pure fumisterie, une exploitation
    honteuse de la sincérité, de l'ignorance des gens.

    LE POURQUOI DU CHANGEMENT D'ORIENTATION DU P.Q.

    Afin de pouvoir comprendre les raisons de la modification de la
    trajectoire du tir du P.Q. contre la forteresse fédérale, il nous faut
    connaître le contexte dans lequel le P.M. québécois et le P.M. fédéral
    évoluent. Il est d'ores et déjà connu que ces deux têtes d'affiches de
    la politique canadienne puisent leurs idéologies dans une fosse
    commune, c'est-à-dire la somme de Karl Marx (C'est ce descendant de
    rabbins talmudiques qui utilisa ses talents de plumitif comme égouts
    collecteurs des élucubrations lucifériennes des Rousseau, des Diderot,
    des Condorcet des d'Alembert et des Voltaire, contre le code d'éthique-
    condition sine qua non de vie morale et spirituelle-édicté, par Celui-
    là même qui, "au commencement était auprès de Dieu et qui est Dieu",
    authentifia son rôle de Rédempteur du genre hunain par son sang versé
    sur le Golgotha et dont Sa victoire sur la Mort, consacra Son Message
    Evangélique comme Vérité immortelle.) Leurs affinités idéologiques en
    font donc des partenaires sur le pian politique international.

    Si le Pacte confédération a, depuis quelques années, servi de toile de
    fond à leurs esclandres verbaux, cela tient beaucoup plus du grand
    guignol et du conflit de personnalité entre René Lévesque et Pierre-
    Elliot Trudeau, ce qui n'altèrent aucunement leurs convergences
    politico-marxistes. Tous les deux n'ont jamais caché leurs sympathies
    pour le monde communiste international ainsi que pour le mondialisme
    synarchique. Il serait trop long de présenter ici la nomenclature des
    pérégrinations et des déclarations de ces deux compères. D'ailleurs
    nous en avons maintes fois parlé dans des éditions précédentes.

    Mais est-ce que cette chamaillerie, cette querelle constitutonnelle
    qui se font au frais des Canadiens et au détriment de notre économie,
    entre ces deux protagonistes, connaîtront-elles le dénouement tragique
    et suicidaire de la séparation du Québec qui inévitablement engagerait
    le Canada sur la voie sans retour d'une dislocation politique et
    géographique? Nous ne le croyons pas. Car l'effritement du pays ne
    servirait pas la cause de la synarchie mondialiste envers laquelle les
    deux P.M ont de très fortes sympathies, sinon des obligations.

    Le changement d'objectif du Chef du P.Q. peut, selon notre analyse,
    s'expliquer en deux temps.

    Premièrement: L'abandon par René Lévesque, conseillé par Claude Morin,
    éminence grise du P.Q., (dont le militantisme dans les mouvements
    d'extrême gauche ne fut, sauf erreur, jamais par lui, renié ou
    démenti) de l'option SÉCESSION ET INDÉPENDANCE, pour celle de
    SOUVERAINETÉ ASSOCIATION, aurait-elle été décidée pour satisfaire aux
    exigences de la Haute Finance, dont les grands patrons se retrouvent à
    la direction de la synarchie mondialiste? La mise sur la voie
    d'évitement, de la fabrication de la piastre à Parizeau tout comme la
    mobilisation de l'armée péquiste, ne seraient-elles pas les
    conséquences des échecs répétés des pérégrinations du Chef péquiste en
    Europe et aux U.S.A. auprès des financiers qui presque partout lui
    firent grise mine et dont la réponse tangible est l'exode continu des
    sièges sociaux des grosses compagnies. Nous pouvons affirmer, sans
    craindre de nous tromper, que René Lévesque et son équipe, par leurs
    pèlerinages à l'extérieur du pays, dans le but de courtiser la Haute
    Finance, et par les exposés de leurs doléances linguistiques devant
    des auditoires qui ne comprennent qu'un seul langage, non pas celui
    des sentiments, mais celui de l'argent, ont manqué le bateau. Ils ont,
    à l'instar des Juifs, voulu ériger des murs de "lamentations" dans les
    grandes capitales. Ce qui s'est avéré très efficace pour les fils
    d'Isaac, s'est soldé en échec pour les péquistes .

    Et dans un deuxième; temps: Est-ce que la perte de vitesse du P.Q.
    auprès de la population, la baisse sensible de sa cote de popularité
    auprès des membres de plusieurs corporations, causées sans doute par
    des politiques tatillonnes et par l'infiltration de l'Etat qui se veut
    être omniprésent dans toutes les phases de la vie publique et privée
    du citoyen, rendant la machine administrative beaucoup trop lourde et
    beaucoup moins efficace, d'ailleurs comme dans tous les pays socio-
    communistes auraient-elle incité les dirigeants du P.Q. à avoir de
    nouveau recours à des subterfuges durant cette période pré-
    référendaire? Voudraient-ils, en camouflant leur véritable objectif,
    qui est la sécession du reste du Canada, derrière le masque de
    souveraineté-association, espérer pouvoir de nouveau leurrer les
    citoyens du Québec. comme ils l'ont si bien fait lors de l'élection du
    15 novembre 1976? Cette hypothèse a aussi un certain poids. Mais nous
    croyons qu'elle ne pesera pas lourd lors du référendum.

    Cette nouvelle option SOUVERAINETE-ASSOCIATION que l'on présente comme
    solution géniale, malgré toute l'orchestration publicitaire dont on
    l'entoure, n'apporte rien de neuf. Elle forme les principes de base de
    l'Acte de l'Amérique Britannique du Nord rédigé par les pères de la
    Confédération en 1867, principes dont notre peuple ne put tirer tous
    les avantages dont ils auraient pu bénéficier, dû à la trahison d'une
    forte partie de notre élite et de notre députation aux deux paliers de
    gouvernements, qui préférèrent se soumettre docilement aux dictats des
    coteries politiques bleues et rouges, plutôt que de représenter
    dignement notre peuple, faire respecter hardiment et défendre
    victorieusement nos droits géographiques, économiques et
    linguistiques.

    De cette polémique constitutionnelle qui perdure depuis déjà plusieurs
    années, ceux qui en sont les plus surpris sont certainement le P.M.
    canadien et le P.M. du Québec. Ils n'auraient jamais cru que leurs
    divergences d'opinions, qui, il y a une quinzaine d'années, n'étaient
    pour eux que des points mineurs, dégénéreraient en affrontements
    politiques sur la place publique, puisque tous deux puisent leurs
    inspirations politiques chez les mêmes auteurs, sont tous deux
    mondialistes et désirent l'abolition de toutes frontières entre les
    pays. Si au cours de cette dernière manche, le changement radical de
    l'objectif de René Lévesque semble avoir fourni des avantages marqués
    en faveur de P.E. Trudeau, cela peut être attribué au travail fait
    dans les coulisses.

    Selon les derniers développements, tout nous porte à croire que le
    TRAIN DE L'INDÉPENDANCE DU P.Q., par sa nouvelle orientation vers un
    Fédéralisme renouvelé , manquera de vapeur et n'atteindra jamais son
    objectif, s'il ne saute, un jour hors de ses rails, emportant dans le
    fatras de son embardée, le chauffeur et le mécanicien de sa
    locomotive.

    DEBAT CONSTITUTIONNEL

    Le débat constitutionnel qui, bientôt aura lieu entre les premiers
    Ministres provinciaux et le Gouvernement fédéral, portera beaucoup
    plus sur le partage des pouvoirs de taxation que sur la question
    linguistique. Or, comme nous l'avons déjà écrit ici à plusieurs
    reprises, tout comme nous l'avons exposé dans notre Mémoire présenté à
    la Commission Pépin-Robarts sur l'Unité Canadienne, l'Article 92 de
    l'Acte de l'Amérique Britannique du Nord accorde aux Provinces des
    droits exclusifs de taxation. Et au lieu de demander à cor et à cri la
    rédaction d'une nouvelle Constitution, les Premiers Ministres
    provinciaux feraient beaucoup mieux de procéder à l'amendement de
    certains articles et paragraphes de celle déjà existante, de la
    renover pour ensuite exiger du Gouvernement fédéral, enfanté par les
    Provinces, la restitution intégrale des droits que celles-ci ont
    temporairement prêtés au pouvoir central, ou qui leur fut
    arbitrairement enlevés par celui-ci. Car il ne faut pas se leurrer.
    Si, par un consensus unanime des Provinces la rédaction d'une nouvelle
    Constitution était jugée nécessaire, la mention des origines
    chrétiennes des deux peuples fondateurs du Canada comme elles le sont
    présentement mentionnées à l'Article 93 du présent Pacte Confédératif,
    seraient totalement éliminées, les Droits de Dieu, Créateur de
    l'Univers visible et invisible seront ignorés, mais par contre les
    droits de l'homme en couvriront plusieurs pages.

    De plus cette nouvelle Constitution voulue et désirée par un grand
    nombre de représentants de tous les partis politiques, (dont la
    majorité d'entre eux n'ont jamais lu ou compris le pacte confédération
    de 1867) qui, de par leurs actions ou leurs omissions, ont permis
    l'adoption de lois anticonstitutionnelles, antichrétiennes et anti-
    nationales, sera coulée dans le creuset préparé par la synarchie
    mondialiste et à travers ses textes i'on pourra facilement déceler les
    bavures de l'équerre et du compas, de l'étoile de Sion, de la faucille
    et du marteau. Autant ceux qui ont lu et compris l'Acte de l'Amérique
    Britannique du Nord sent fiers des Pères de la Confédération et
    rendent hommage à leur sagesse, autant les générations futures
    honniront la nouvelle Constitution et ses auteurs qui,
    vraisemblablement portera en elle le virus de décomposition économico-
    socio-politique, ce qui pourrait avoir comme tristes conséquences la
    dislocation géographique de notre beau pays de Canada, faisant tomber
    le rideau sur notre incomparable et glorieux passé et reléguant à
    l'oubli l'épopée héroïque et chrétienne de notre Histoire canadienne.

    SERVIAM.

    RépondreEffacer

Remarque : Seuls les membres de ce blogue sont autorisés à publier des commentaires.