Note: avril 2008. Le nom de Daniel Laprès a été retiré du site de la grande loge du québec après la parution de ce billet en juin 2007 mais de toutes façons, Laprès se déclare maintenant ouvertement franc-maçon et affirme ne jamais l'avoir caché. En réalité, cela a pris plusieurs messages de ma part sur son blog et ici avant qu'il finisse par l'avouer. De plus, il censure systématiquement la plupart de mes commentaires sur son blog et il affirme faussement que je suis un membre des Bérets Blanc. Daniel LaprèsTout d'abord voici la preuve qu'il est un FM.
Lu sur le site web de la grande loge du Québec.
site http://roughashlar.com"Depuis quelques mois, nous avons reçu plusieurs dons intéressants : le Frère Apprenti Daniel Laprès, de la Loge Jean T. Désaguliers # 138..."
son blog est ici
http://lapresd.blogspot.com/(note il vient d'avouer qu'il est FM dans un des commentaires de son blog).
http://lapresd.blogspot.com/2008/04/paul-henri-frenire-plus-botien-que.html
Même le site maçonnique
www.hiram.be confirme la nouvelle:
http://www.hiram.be/Chroniques-intempestives_a798.htmlSon blogue est d'un surréalisme inoui: Ce monsieur passe le plus clair de son temps a pourfendre la religion en général ainsi que les théories du complot mais sans jamais oser révéler qu'il fait parti lui même d'une secte maçonnique...Il faut bien le comprendre: seule sa "religion" est vraie et donc jamais elle ne doit être remise en cause ni même mentionnée...
Cet homme semble vouer un culte au mouvement laique québécois,
un organisme prouvé maçonnique
ici et
ici.
Un admirateur du délirant dramaturge René-Daniel Dubois, vous savez le type qui pense que le drapeau du Québec est un symbole fasciste...
Notez aussi que tous les grands personnages que Laprès lénifie sans arrêt sont tous des francs-maçons notoires (T-D Bouchard, Louis-Joseph Papineau, Jean-Charles Harvey etc).
Voir aussi la liste des liens de son blogue: les sceptiques, ligue humaniste, brights du Québec etc. Tous ces organismes ont comme membres app les mêmes personnes que le MLQ...
Et voici son petit côté fédé de service:
http://lequebecois.actifforum.com/ftopic904.La-vraie-personnalite-de-Daniel-Lapres.htm
DANIEL LAPRÈS (dlapres@yahoo.ca), intimement associé au Parti Libéral du Canada (http://www.liberal.ca/renewal_f.aspx), est assez bien connu pour ses textes de propagande canadienne inlassablement présentés sous couverture des nobles idéaux de Vérité, de Droit, de Liberté, de Tolérance et de Respect mutuel.* C'est que suite à une entente avec le conglomérat de presse Gesca, il publie un article de cette nature à raison, environ, si je ne m'abuse, d'un par mois. Le plus récent est paru dans La Presse du 20 mai dernier (pour commémorer le referendum de 1980, peut-être...?), et se voit accessible à l'adresse insérée en rubrique.
Or jusqu'à ce matin, il était possible de réagir à ce texte par le biais du site de Gesca (Cyberpresse). Mais oh! surprise. Les soixante et quelques textes qui y avaient été acheminés (du moins on en était là hier soir, dimanche le 21) ont tous été éradiqués dans les dernières heures.
Il se trouve, effet du hasard sans doute, que ces avis s'opposaient massivement, et même avec fermeté et indignation le plus souvent, à la proverbiale malhonnêteté intellectuelle de l'individu. Et ce, certainement à hauteur de 90% (en comptabilisant, bien sûr, les toujours lumineuses interventions des Monique Desautels [et ses multiples prête-noms], des Jean-Serge Baribeau, des Nelson «MBA» Guillemette et des Farid Kodsi, distingué Ontarien et fonctionnaire fédéral à Transport Canada - qui infailliblement applaudissent à quatre mains sur toutes les tribunes d'opinions disponibles lorsqu'on y dénigre de près ou de loin le Québec). Ce qui constitue, comment le contester, ce qu'on pourrait appeler un puissant consensus contre les «méthodes Laprès». Même des fédéralistes de bonne foi (il en resterait sept ou huit, dont deux et trois huitièmes à Montréal, selon les plus récentes enquêtes de Léger Marketing) trouvaient à redire sur les manières plus que douteuses de l'individu. C'est dire.
Nous prenons donc acte que M. Daniel Laprès - lequel se plaint à pleines pages depuis belle lurette de ne jamais croiser de souverainistes québécois capables d'affronter ses (imparables) «argumentaires» issus d'un esprit structuré, qui se fonde toujours, comme chacun sait (lui surtout), sur la raison et les faits - s'est empressé de contacter son employeur d'occasion pour réclamer le retrait immédiat de la totalité des "éléments" de ce... consensus public. Hélas ! pour qui connaît l'homme et sa plume, le geste n'est pas étonnant. Verser une larme sur la liberté d'expression bafouée ne lui coûte guère. Tant que celle-ci demeure un concept théorique ou, sinon, s'il en est lui-même le principal voire l'unique bénéficiaire.
On connaissait depuis longtemps la propension naturelle de M. Laprès (L'après-Goebbels, selon une légende urbaine) pour la propagande et la démagogie. On connaît maintenant son courage à affronter la critique.
En outre, et ce n'est tout de même pas un détail (d'autant plus que je n'ai jamais vu l'équivalent sur les autres forums de Cyberpresse), on signalera combien il est fréquent de constater que dans les aires de discussion associées à une "prestation" de M. Laprès, on assiste en récurrence, c'est pour ainsi dire immanquable, à des usurpations d'identités (plusieurs personnes s'en sont plaintes de nouveau sur cette tribune cette fin de semaine), par le biais desquelles on met sous la signature de souverainistes québécois avérés (quoique pas forcément connus hors desdits forums) des propos excessifs, ridicules ou insensés. Or curieusement notre ami Laprès surgit illico, à tout coup, pour dénoncer avec force indignation les discours intolérants, ethnicistes, extrémistes ou fanatiques (and so on...) des indépendantistes québécois (la gamme des épithètes en «istes» à titre d'arguments de haute voltige, il les maîtrise bien le généreux supporteur de Bob Rae à la tête du Liberal Party of Canada, ah pour ça...).**
Mais soyons raisonnables, et ne voyons pas là de complot (autre vocable singulièrement apprécié par monsieur pour discréditer la pensée primaire de ses adversaires idéologiques), fût-ce celui d'un seul individu, puisque M. Laprès nous assure dans la vitrine numérique de son Culte du Moi (une internaute a même avancé à cet égard la locution d'«onanisme sur la place publique»: joli, n'est-ce-pas?) qu'il n'y est pour rien. Alors, dites-moi, pourquoi en effet douterions-nous de la parole d'un si honnête homme?***
En terminant, on conviendra, bien entre nous, que les gens de Gesca / Power Corporation ont une bien curieuse façon de célébrer La Journée nationale des Patriotes. Qui se sont battus - à la vie, à la mort - pour la Liberté. Dont la liberté de presse. Et notamment, au passage, la liberté de leur «Presse».
Reste que LaPresse et Laprès - ce me semble incontestable - étaient faits pour s'entendre.
C'était écrit dans le ciel. In that Bob Dylan's Red One, en particulier.
Jean Dunois,
22 mai 2006, Jour national des Patriotes
(Compte tenu de sa fougueuse personnalité et de son sens inné de la Nation française des Amériques, j'imagine que notre Premier ministre aura fait de ce jour un moment mémorable de son mandat électoral)
* On lira avec intérêt le commentaire suivant, déjà ancien de plusieurs mois : « Le Jésuitisme de Daniel Laprès » (http://www.vigile.net/05-10/TL-8.html#4). Il fut d'ailleurs rappelé au souvenir par quelques internautes dans les textes désormais éliminés en conséquence du très haut sens de la liberté d'expression qui, on en prend acte derechef, domine au sein des plus hautes instances des journaux de Power Corporation; où incidemment messieurs Alain Dubuc et Alain Pratte, aux dires de leur grand patron (en tout cas richissime, pour le coup c'est indéniable), font un excellent travail (les mauvaises langues diront: travail analogue à celui de M. Laprès. Mais les mauvaises langues, on le voit une fois de plus dans les pages de Cyberpresse de ce matin, elles sont destinées à être tranchées). De même, autre référence citée, je signalerai une courte réflexion portant spécifiquement sur la notion de mauvaise foi. Il s'agit en quelque sorte d'une définition élargie du phénomène. Et ma foi, outre que Jean-Paul Sartre lui-même n'aurait désavoué ni le ton ni la manière ni la matière, on croirait qu'il a été conçu expressément pour M. Daniel Laprès en personne, tellement cette «fiche philosophique» (http://www.vigile.net/05-5/13-jlg.doc) lui va comme comme un gant d'agnelet. Enfin, et outre la connaissance de son compte de dépenses auprès du très honorable Federal Government, accessible sur internet, je suggère le carnet (aussi appelé blogue chez les anglophiles) de ce Daniel Laprès: http://lapresd.blogspot.com/ . Pour les individus qui chercheraient des idées afin de structurer un site susceptible d'établir le culte de leur propre personne, a fortiori si l'hystérie devait par surcroît leur apparaître comme étant l'indice d'une supériorité morale certaine, trouveront là sans nul doute quelques éléments utiles.
** « Why I support Bob Rae », toujours en http://lapresd.blogspot.com/ (restera à l'ex-premier ministre de l'Ontario à s'aviser si l'appui public d'un tel personnage est préférable à une décharge de plombs dans l'estomac).
*** Dans le même registre, quoique a contrario, on relèvera que sur d'autres places (celle-ci par exemple: http://www.voir.ca/actualite/grandesgueules.aspx?iIDArticle=36637) c'est M. Daniel Laprès qui, contre toute attente (on n'est pas sans savoir, ça tombe assurément sous le sens, que les lecteurs-types de l'hebdomadaire Voir sont pour la plupart des Canadians fiers de nos Pierre Pettigrew, de nos Denis Coderre ainsi que de leur rideau de douche aux couleurs de l'unifolié), se voit privilégié d'une majorité d'appuis à son opinion (31, pour le coup). Étonnamment, une fois de plus il y a un hic: j'ai pu constater qu'il est en ces lieux possible pour un même individu (j'en ai fait moi-même l'expérience afin d'en vérifier l'éventualité) de "voter" à volonté... Mais derechef, n'allons pas prêter à M. Laprès des manoeuvres tout à la fois aussi illicites, indignes et malhonnêtes que puériles ou ridicules. Un homme de sa trempe, on le reconnaîtra tout de suite à la finesse intellectuelle de son verbe à nouveau ici en exercice, n'oserait en aucun cas agir de manière à ce point dégradante. On s'étonnera tout de même que dans un cas (et une année plus tard!) les «appuis» persistent, alors que dans l'autre il a suffi de quelques heures, chez Power Corporation-Gesca-Cyberpresse, pour éliminer radicalement une bonne cinquantaine d'opinions qui divergeaient de celle de notre puissant penseur, désespérément à la recherche, on l'a dit, d'interlocuteurs de son envergure...
Note : Coordonnées de quelques membres de l'équipe de direction de Gesca ainsi que celles d'organismes susceptibles de s'estimer interpellés par ce dossier: M. Yann Pineau, responsable de Gesca - Cyberpresse (yann.pineau@cyberpresse.ca), philippe.cantin@lapresse.ca, eric.trottier@lapresse.ca, ybellefleur@lesoleil.com et fbourque@lesoleil.com . Également, Le Conseil de presse du Québec (info@conseildepresse.qc.ca / http://www.conseildepresse.qc.ca/content/_qui.htm), La Fédération professionnelle des Journalistes du Québec (info@fpjq.org / http://www.fpjq.org/) et Le Centre d'Études sur les Médias (cem@com.ulaval.ca / http://www.cem.ulaval.ca/concentration.html).