dimanche, avril 01, 2007

Prostitution juvénile et impunité

(Par ReBel)

À l’automne 2003, Roger Ferland http://www.ledevoir.com/2003/10/08/37860.html, l'enquêteur de police en charge du dossier de la prostitution juvénile précisait devant le tribunal que l'une des présumées proxénètes, Nadine Gingras, conjointe http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/nouvelles/200309/26/002-prostitution_declaration.shtml du chef de gang de rue Wolf-Pack Nerva Lovinski, avait déclaré http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2004/09/20040910-152421.html dans une conversation téléphonique enregistrée par la police, avoir des ministres parmi ses clients http://lcn.canoe.com/infos/faitsdivers/archives/2003/09/20030926-075157.html. Le ministre de la Justice et Procureur général, Marc Bellemare, a demandé alors aux procureurs de la Couronne chargés du dossier de la prostitution juvénile à Québec de réviser l’ensemble de la preuve dont ils disposaient afin de dissiper tous les doutes concernant l’implication de ministres ou députés de l’Assemblée nationale à titre de clients du réseau. Pour la première fois, il demandait également au gouvernement d’adjoindre à l’enquête un procureur spécial. Mario Dumont abordait dans le même sens http://www.ledevoir.com/2003/11/06/39956.html. Une pétition déposée à l’assemblée nationale et les manifestants dans la rue scandant «Que l'on continue!» n’ont pas réussi à convaincre Charest de reprendre l’enquête Scorpion.

Quelques mois plus tard, soit au printemps 2004, dans le procès de Robert Gillet, une conversation en arabe libanais entre le proxénète Georges Radwanli et une personne non identifiée fut mise en preuve au tribunal. Le 24 mars, l’équipe de TVA qui a récupéré le repiquage de la conversation et fait traduire le tout, diffuse la nouvelle en primeur au téléjournal de 17h. Dans cet échange, Radwanli propose à son interlocuteur les services d’une avocate, Me Suzanne Corriveau, d’une famille de juristes bien connue de Québec, qui gagne ses causes à coup sûr car elle fournit à certains juges de la Cour supérieure de jeunes prostituées. Un nom de juge a même été mentionné devant la Cour.

Le scoop a l’effet d’une bombe. À peine 2 heures plus tard, Marc Bellemare improvise un point de presse https://www.ledevoir.com/2004/03/25/50655.html, annonçant la nomination éminente d'un procureur spécial pour faire « toute la lumière » au sujet de ces allégations. Mis au courant du dossier peu avant la période de questions à l'Assemblée nationale, le premier ministre Jean Charest semble troublé http://www.assnat.qc.ca/FRA/conf-presse/2004/040324JC.HTM. «Quand il y a des procès devant les tribunaux, il faut faire preuve de prudence avant de faire des déclarations publiques. …En tout cas, ce qui est allégué est sérieux, et on va réagir, c'est évident», a-t-il assuré.

Au 22h, sur le réseau TVA, plus rien. Nulle part, sur aucun réseau, la nouvelle est reprise. D'où provenaient ces ordres? Le 27 avril de la même année, Marc Bellemare démissionnait du gouvernement.

D'une source de Québec qui préfère préserver l'anonymat, le juge Frank Barakett serait impliqué dans cette affaire. Il s’agit d’un controversé personnage de la cour supérieure qui en plus avait été identifié par certains à l’époque comme ayant reçu des pots de vins des accusés du clan libanais.

Le juge Richard Grenier serait également impliqué, mais son nom n'a jamais paru publiquement. C’est ce même juge Grenier qui conseille actuellement Gillet dans sa poursuite intentée contre Jeff Fillion.

La peine infligée à M. Radwanli est proprement scandaleuse http://www.canlii.org/fr/qc/qccs/doc/2004/2004canlii43851/2004canlii43851.html. Il a été reconnu coupable de neuf chefs d'accusation de rapports sexuels avec des mineures, coupable d'incitation d'adultes à avoir des rapports sexuels avec des enfants, coupable de trafic de substances interdites et coupable d'exploitation d'une maison de débauche. Il a été condamné à purger 18 mois dans son propre appartement et à effectuer 200 heures de services communautaires. Pour sa part, Gillet s’en est tiré avec 40 heures!

Peu de temps avant le déclanchement des présentes élections, Charest annonçait en grande pompe la mise sur pied d'une commission d'enquête, réclamée par personne et tout à fait inutile à mon humble avis, sur le phénomène des aménagements raisonnables. Malgré les incessantes demandes http://www.ledevoir.com/2003/11/05/39878.html de la population à cet effet, le gouvernement Charest a toujours refusé de rouvrir l’enquête Scorpion, sous prétexte de ne pas compromettre l’issu des dossiers devant les tribunaux. Ce prétexte ne tient plus.

Notre devoir de citoyens responsables nous commande de réclamer la mise sur pied d’une Commission Royale d’Enquête sur l’Administration de la Justice pour préserver l’intégrité de l’institution présentée sous des apparats de justice. À la lumière de ce qui précède, la population est en droit de savoir la vérité. À défaut, une conclusion s’impose d’elle-même, à savoir que la justice de cette province n’est plus digne de confiance. À partir de ce moment, tout devient possible.

35 Comments:

Anonymous Anonyme said...

tiens, il y a une loge SENATE à OTTAWA
http://roughashlar.com/cgi-bin/pub9990186647624.cgi?itemid=9990252715825&&action=viewad&page=1&placeonpage=1&totaldisplayed=1&categoryid=9990186647624

ur "Little Green Books", are very dear to us, and many have lamented that years of use have worn the bindings to the point that pages are falling out. I have a solution. A bookbinder in Ottawa, whose work has included volumes for the Senate and the V.S.L. for Argenteuil Lodge, can rebind the books for us. I was quite impressed with the quality of the work that was done on the V.S.L. for Argenteuil Lodge, and we all know that the Senate demands quality work. I have obtained an estimate of not more that $25 per book, with discounts available for quantity work.

Anyone interested?

5:49 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

lol

C'est pas ca que ca dit...

Le texte dit qu'un relieur fait du travail de qualité a Ottawa et qu'il a travaillé sur des anciens volumes tant au Sénat qu'a la loge Argenteuil...

Speak very beaucoup l'anglish on dirait...

12:21 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

Les juges sont des pourris nommés par des pourris.

Corruption mafieuse ou de carbonari.

1:48 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

Le dimanche 08 avril 2007




Aux sources de la Bible

Mathieu Perreault

La Presse

Il y a environ 2500 ans, les Hébreux ont écrit l'histoire de Moïse, qu'ils se transmettaient oralement depuis plusieurs siècles. Les tribulations de ce prophète, qui a mené les Hébreux hors de l'Égypte vers la Terre promise, sont rappelées par la Pâque juive, dont les Pâques chrétiennes ont repris plusieurs éléments comme la tradition pastorale de manger de l'agneau. Ces dernières années, les archéologues s'intéressent aux traces laissées par Moïse. Ils racontent une histoire inspirée de mythes et d'événements bien réels.

Cet hiver, le réalisateur torontois Simcha Jacobovici a fait couler beaucoup d'encre avec un documentaire au sujet du «tombeau de Jésus». Ce n'est pas la première fois que le cinéaste juif se frotte à la controverse. L'an dernier, il avait affirmé, dans son film The Exodus Decoded, que Moïse était un pharaon étranger chassé d'Égypte par une révolte de la population autochtone et que les 10 plaies avaient toutes une explication naturelle.

Plusieurs explications surprenantes ont été proposées pour donner une base archéologique à l'histoire de l'Exode et de Moïse. Ce foisonnement de théories, plus douteuses les unes que les autres, désespère les universitaires. D'autant plus qu'elles jettent de l'ombre sur les succès de l'archéologie biblique.

«Depuis un siècle et demi, on est progressivement arrivé à une compréhension inédite du contexte où ont été écrits l'Ancien et le Nouveau Testament», explique Jean-Marc Michaud, professeur de théologie à l'Université de Sherbrooke et membre du Laboratoire des études sémitiques anciennes du Collège de France. «Avec les grandes découvertes comme Ninive ou Babylone et la traduction des hiéroglyphes égyptiens, on s'est rendu compte qu'i l existait de nombreux mythes de déluge et de création dans la région. Les rédacteurs de la Bible reflétaient le monde culturel de leur époque.»



Aucune mention de l'Exode



Si la Bible s'inspire d'autres textes plus anciens, serait-il possible que l'histoire du peuple juif soit différente de la chronologie biblique ? se sont demandé les archéologues. «Le problème, c'est qu'il n'existe aucune mention de l'Exode dans les textes égyptiens, dit M. Michaud. On ne mentionne qu'une seule fois Israël, sur une stèle de la fin du XIIIe siècle qui commémore une victoire sur les Libyens. Mais on ne sait pas l'importance ou l'identité de ce groupe. Certains doutent même qu'il s'agisse des Hébreux. Jusqu'à preuve du contraire, nous n'avons que des hypothèses sur la protohistoire d'Israël.»







Par exemple, dans les montagnes cananéennes, à cheval sur la frontière actuelle entre Israël et la Cisjordanie, on a trouvé de petits villages où il n'y avait pas d'os de porc. Certains experts pensent que ce pourrait être le premier État hébreu. Par contre, il n'y a pas de trace de destruction rapide des villages cananéens (comme Jéricho, dont les murailles auraient été détruites par des trompettes) comme le raconte la Bible pour expliquer l'implantation des Hébreux après la fuite d'Égypte.

L'une des clés de l'archéologie biblique est le village d'Ougarit, en Syrie, qui a prospéré aux XIIIe et XII e siècles avant notre ère et a laissé de nombreux écrits. «Ougarit est plus important que les manuscrits de la mer Morte, qui ne constituent que l'expression d'une communauté marginale, dit M. Michaud. Les tablettes d'Ougarit nous donnent un aperçu de la littérature locale des Hébreux, des Phéniciens et des Araméens quelques siècles avant le judaïsme. Il ne s'agit pas d'un culte au dieu de l'écriture, comme en Égypte, mais d'une culture laïque de lettrés qui traduisent la piété locale.»

11:55 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

Le dimanche 08 avril 2007


L'Exode en questions

Mathieu Perreault

La Presse


Q Les Hébreux ont-ils habité l'Égypte?

R Il n'y en a aucune preuve sanséquivoque. On sait que des pharaons étrangers, les Hyksos, ont régné sur l'Égypte au milieu du deuxième millénaire avant notre ère. Les Hyksos étaient d'origine sémite et ont introduit dans le panthéon égyptien le dieu moyen-oriental Réchef, originaire d'Ougarit, en Syrie. Mais rien ne prouve qu'ils étaient hébreux. Par contre, souligne Françoise Briquel Chatonnet, du CNRS en France, il est très possible que des sémites de la Palestine aient fait l'aller-retour vers l'Égypte pour y travailler ou faire du commerce et que l'Exode raconte leur expérience. D'autres experts soulignent qu'il est normal d'inclure l'Égypte, grande puissance de l'époque, dans un récit fondateur.



Q En quoi consistaient les 10 plaies?



R Pour Simcha Jacobovici, il peut s'agirdesséquellesdel'éruption du volcan de Santorini, en Grèce, au XVI e siècle avant Jésus-Christ (par exemple, les cieux obscurcis par la pluie, ou un tremblement de terre causant un raz-de-marée qui aurait emporté l'armée égyptienne). Pour ce qui est de la mort des animaux et des premiers-nés, le cinéaste torontois penche vers une libération de gaz similaire à celle qui a tué des poissons et des gens près du lac Nyos, au Cameroun, en 1986. Pour la plupart des experts, on situe les plaies d'Égypte trois siècles trop tôt parce que les premiers villages hébreux en Palestine datent de la fin du XIIIe siècle.

Q Les Hébreux ont - ils fui l'Égypte?







R La Bible parle de 600 000 familles. Or, la population totale égyptienne à cette époque ne dépassait pas quatre millions de personnes, selon l'archéologue canadien Donald B. Redford, qui enseigne maintenant à l'Université d'État de Pennsylvanie. Comme il n'y a aucune mention d'une telle catastrophe démographique dans les annales égyptiennes, une telle migration est improbable, d'autant plus qu'il n'y en a pas de trace dans le désert menant à la Palestine. Par contre, Françoise Briquel Chatonnet souligne qu'il peut très bien y avoir eu un petit incident frontalier en Égypte impliquant des travailleurs immigrants sémites. Autre théorie, basée sur des écrits de Manéthon, prêtre égyptien du IIIe siècle avant Jésus-Christ : l'Exode rappellerait une alliance entre un groupe d'«impurs» égyptiens et une tribu sémitique, les Hyksos, au début du XIIIe siècle avant Jésus-Christ. Les Hyksos habitaient à 200 ou 300 kilomètres au sud de Jérusalem depuis qu'ils avaient été chassés du trône égyptien, au XVI e siècle. Les pharaons égyptiens ont fini par triompher de la coalition des impurs et des Hyksos.



Q Où était le mont Sinaï ?



R Probablement pas au sud de la péninsule où se trouve le mont Sinaï aujourd'hui. C'est trop loin des routes de migration et de commerce bordant la Méditerranée. Françoise Briquel Chatonnet avance que, comme les contacts entre humains et dieux se déroulent souvent sur des montagnes et qu'il n'y en a pas dans le nord de la péninsule, il est normal d'évoquer le sud montagneux. L'imprécision de l'Exode est d'autant plus surprenante, si le récit est historique, que l'Égypte avait des techniques toponymiques très précises, souligne Sydney Aufrère, d'Aix-en-Provence.

12:08 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Rien de neuf depuis dimanche.

Apparemment, les Forces Obscures auraient fait taire Anti-Maçon.

Paix à son âme et que Dieu nous protège tous.

Préparons à la Conscription pour le conflit Afghan qui s'étendra à l'Iran et au Pakistan.

Il y a présentement un sommet à ce sujet à Québec.

9:10 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Il y a un commentaire dans le "posting" précédent qui dit qu'il a terminé son "enquête".

Personellement, je pense plus qu'il est allé se chercher des médicaments a l'hopital!




anti-macon said...

Bon je pense que mon enquête se termine ici.
je viens d'enlever la modération sur les commentaires donc si quelqu'un
écrit des conneries avec le nom d'anti-macon, ce ne sera pas moi.
J,abandonne mon adresse email, donc si vous avez un commentaire écrivez le ici.

3:21 PM

10:27 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

J'ai rien de neuf à dire, c'est tout.
Par contre si vous savez des choses, c,est très important de le dire ici car c'est vraiment le seul endroit quand on y pense.

12:55 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

André Paradis président de la LDLQ est-il un franc-maçon?

9:35 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Est-ce qu'Anonyme est Antimacon?
le "j'ai rien de neuf à dire"
ou est-ce un FM qui essait l'imposture?
Si les-dites "Forces Obscures"ont agi pour le liquider, alors ils agitent sa momie pour nous faire croire qu'il est bien vivant. Puis ils vont lui faire dire le contraire de ce qu'il aurait dit.

Semez la Confusion et vous perpétuerez le Secret.

9:43 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

J'avais entendu dire Liza Frulla qu'elle et Louise Baudouin logeaient dans le même immeuble.
Mais là je m'interroge si ce n'est pas plutôt un sous-entendu.
Logeraient-elle avec Gloria Escomel.

Les deux semblent former un couple dont Louise serait le butch, le mâle.
Elles semblent célébrer avec les grands sous-entendues leur lesbianité, voir

http://www.cyberpresse.ca/article/20070416/CPARTS02/704140807/1017/CPARTS

Aussi Liza a déclaré à Paul Arcand que le pouvoir féministe peut dans certains cas transcender les lignes de parti à l'Assemblée Nationale, mais c'est surtout le cas du Pouvoir Rose (homosexuel) qui le ferait plus souvent.
Qu'en savent-elles si elles ne sont pas liés charnellement?

Je sais que Liza est formellement marié à un certain André Morrow, expert en relations publiques. À mon opinion, il est un mari de façade. (la façade est une invention de franc-maçon)
Serait-il homosexuel lui-même que cela expliquerait son patronyme. Il est bel et bien francophone comme indique son prénom. Son nom est la déformation de Moreau. Il ne s'est pas américanisé, car il n'a pas passé son prénom dans le tordeur. C'est un cas de déni familial.
Son paternel a dû le bannir pour une raison honteuse, par exemple l'homosexualité. Il a altéré son patronyme pour couper le lien familial et démontrer son émancipatio.
C'est pareil pour les mafieux Cotroni qui descendaient de fait des Cortoni.

10:30 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

This looks like freak-masonry to me :

The Turner Diaries is a 1978 novel by Dr. William Luther Pierce (under the pseudonym Andrew Macdonald), the late leader of the National Alliance, a white separatist organization. The novel depicts a violent racist revolutionary struggle in the United States that escalates into global genocide, leading to the extermination of all people who are not white.[1] For novelist Pierce, this was not a dystopian outcome, but rather the fulfillment of his "dream of a White world".

The novel was initially only available through mail order and at gun shows, and partially serialized in National Alliance publications. Sales figures as high as 500,000 have been claimed. The novel is now available for sale through mainstream book sources (ISBN 1-56980-086-3), or freely available from white supremacist websites.

According to the book description accompanying the 1996 edition published by Barricade Books, the United States Department of Justice considers the novel to be a manifesto for far right militia groups, while the Federal Bureau of Investigation believes that it served as inspiration for the Oklahoma City bombing in 1995.

Plot summary
The narrative starts with a foreword set in the year 2099, one hundred years after most, if not all, of the non-whites in the world have been killed and a white supremacist revolutionary world government has been established. The bulk of the book then quotes a recently discovered diary of a man named Earl Turner, an active member of the movement that caused these events. The book details a violent overthrow of the United States federal government by Turner and his comrades and a brutal contemporaneous race war that takes place first in North America, and then the rest of the world.

The story starts soon after the US federal government has confiscated all civilian firearms in the US under the "Cohen Act", and the "Organization" of which Turner and his cohorts are members "go underground" to launch a guerrilla war against the "System", which is depicted as the totality of the government, media, and economy that is under "Jewish control" (which equates, in the book, with support of multiculturalism). The Organization starts with acts such as the bombing of FBI headquarters and continues to prosecute an ongoing, low level campaign of terrorism, assassination and economic sabotage throughout the United States. Turner's exploits lead to his initiation into the "Order", a quasi-religious inner cadre that directs the Organization and whose existence remains secret to both the System and ordinary Organization members.

Eventually, the Organization seizes physical control of Southern California, including nuclear weapons at Vandenberg Air Force Base; ethnically cleanses the area of all blacks, Hispanics, and Asians; and summarily executes all Jews and "race-traitors". They then use both this base of operations and their nuclear weapons to open a wider war in which they launch nuclear strikes against New York City and Israel, initiate a nuclear exchange between the US and the Soviet Union, and plant nuclear weapons and new cells throughout North America. The diary section ends with the protagonist flying an airplane equipped with an atomic bomb on a suicide mission to destroy The Pentagon, in order to eliminate the leadership of the remaining military government before it orders an assault to retake California. The novel ends with an epilogue summarizing how the Organization continued on to conquer the rest of world and to eliminate all people of other races.


Major themes
The book is graphically violent. All non-whites, which include blacks and Latinos, are viciously depicted as being sub-human and bestial. Jews are depicted as conniving and manipulative puppet-masters who control the government, media and economy. Whites who do not support the race war are described as weak "race traitors" who must be terrorized into supporting it or else killed along with the non-whites.

The book depicts the hypothetical US of the mid-1990s as being a bleak, poor, decaying and oppressive society, with an economy on the brink of collapse, a government that has become a police-state, and a society that has taken multiculturalism and liberalism to irrational extremes (all of which is cast as the result of "Jewish domination"). This hypothetical America depicted in The Turner Diaries was a perhaps fanciful future extrapolation of the circumstances of the late-1970s that the author hoped would be ripe for future revolution.

Interestingly, despite the manifest admiration for Hitler, whom the Organization calls "The Great One", the writer seemingly saw no way for National Socialist Americans to emulate Hitler's methods - i.e., build up popular support, create a mass party and take power through democratic elections, and only then establish a racially-based dictatorship. Throughout the struggle described in the book, it is solely the anti-racist forces who are able to hold mass rallies in which blacks and whites come together, with a specific rally in Chicago described as drawing hundreds of thousands of participants.

Even after The Organization's troops take over Los Angeles they encounter stiff resistance from masses of whites and blacks who day after day "throw stones and bottles at our troops, while chanting 'racism must go' and 'equality forever'". The Organization is neither able nor interested in organising popular support for its racist ideas. Its answer is simply to break into their opponents' homes in the middle of a single night, drag them out in their tens of thousands and hang them on lampposts, by which means Los Angeles is at last "pacified" .

This "Day of the Rope", which the book graphically describes, also includes the seizing of thousands of white women who had sex with black men or were married to them, who are also summarily hanged on lampposts with signs reading "I defiled my race" attached to their bodies. (Strange as it may seem, in this respect "The Organization" is several steps in racist savagery ahead of the Nazi practice. While the infamous Nuremberg Laws forbade sexual intercourse and marriage between "Aryans" and Jews, infringement of these laws was punishable by no more than one year's imprisonment - not by death; existing mixed marriages were not annulled; the non-Jewish wives were never molested, and their Jewish spouses, seized in 1942, were released after the protests of their wives (see Rosenstrasse protest) and most of them survived the war.)

The Organization then resorts to destroying New York with a nuclear bomb so as to kill its Jewish, black, Hispanic and liberal white population, and provokes the Soviet Union into destroying most of the other American cities - so that their prepared, well-organised cadre could at last cow the remnants of the starving population into accepting a rule which (as is specifically and frankly admitted at several points in the book) these people would never have chosen of their own free will.

The book contains a number of what would seem obvious inconsistencies. For instance, in the society described, the Feminist movement is strong and powerful (it is depicted as a decoy set up by "the Jews" in order to distract white women from their duty to have more white babies); yet it is also a society where rape is common, is committed almost openly and goes unpunished (that is, the rape of white women by black men). In some parts of the book Arabs are depicted positively as the enemies of Jewish Israel, but after the nuclear exchange which "the Organization" provoked, its members control the provision of food and shelter in ruined cities and make it dependent upon producing "the freshly cut head" of a "non-white person" - and the cut off heads of "Middle Eastern people" are accepted in this grisly "trade", as well as those of blacks.

In some parts of the book the Holocaust is denied - for example, it is asserted that Eichmann was an ordinary middle-ranking German Army officer, victimised by "the Jews" for no fault of his own. Yet Turner himself and other members of the Organization often vow to exterminate the Jews; some of the Organization's acts described in the book are directly inspired by the Nazi extermination methods, for example taking Jews and "mongrels" from Los Angeles to be executed in a canyon outside the city, obviously inspired by Babi Yar; and the diaries' supposed editor, a hundred years later, notes with satisfaction that all Jews had been exterminated though some copies of the Talmud had been preserved "to show what evil people the Jews were".

Many compare the novel to a later book written by William Pierce (again under the Macdonald pseudonym), Hunter. While The Turner Diaries portrays a classic hierarchical revolutionary movement, Hunter illustrates the concept of leaderless resistance. Hunter depicts the actions of a man, Oscar Yeager (Jaeger means "hunter" in German), obsessed with ridding society of the perceived enemies of the white race: blacks, Jews, and mixed-race couples. Yeager's actions eventually cultivate him a following, a small revolutionary cadre, which many correlate to early incarnations of The Order.

In the early chapters, the protagonist and his comrades are depicted as concerned mainly with the confiscation of arms under the law introduced by "Senator Cohen" - which is obviously intended to capture the support of opponents of gun control. In later chapters, however, the racist agenda of the book becomes more apparent, and the protagonist eventually gives an ironic "thanks to Senator Cohen" for having disarmed the Black population and thereby making easier their "neutralisation" and eventual imprisonment in what the book terms "holding camps" from which evidently none of them emerges alive. Upon its victory, the Organization institutes a dictatorial oligarchy, which is portrayed as being all-powerful, and of working towards "reclaiming the world for people of European ancestry" by such means as subjecting the entire continent of Asia to three whole years of bombardment by weapons of mass destruction and transforming it into "The Great Eastern Waste". At the supposed time of publication, a hundred years after the events described, preparations are made to exterminate the "mutants" who still live there after these bombardments.

The "editorial notes" supposedly put in by with the diaries' publication a century later reveal that blacks were exterminated not only in America but also in the continent of Africa: "Uganda was a political subdivision of the continent of Africa during the Old Era, when that continent was inhabited by the Negro race." There is also a casual mention of a wholesale genocide of Puerto Ricans: "Puerto Rico was the Old Era name of the island of New Carolina. It is occupied now by the descendants of White refugees from radioactive areas of the southeastern United States, but before the race purges in the final days of the Great Revolution it was inhabited by a mongrel race of especially unsavory character".

The protagonist's first name "Earl" was taken from an associate of Pierce when he worked with the American Nazi Party [2]. The word "earl" also derives from jarl, an old Northern European word for "chieftain".


[edit] Quotes from the book
"What is really precious to the average American is not his freedom or his honor or the future of his race, but his pay check. He complained when the System began busing his kids to Black schools 20 years ago, but he was allowed to keep his station wagon and his fiberglass speedboat, so he didn't fight... He complained when they took away his guns five years ago, but he still had his color TV and his backyard barbeque, so he didn't fight... And he complains today when the Blacks rape his women at will and the System makes him show an identity pass to buy groceries or pick up his laundry, but he still has a full belly most of the time, so he won't fight... He hasn't an idea in his head that wasn't put there by his TV set... That, unfortunately, is our average White American..."
"About 45 seconds after the second round the third one landed on the roof of the south wing of the Capitol and exploded inside the building... We saw beautiful blossoms of flame and steel sprouting everywhere, dancing across the asphalt, thundering in the midst of splintered masonry and burning vehicles, erupting now inside and now outside the Capitol, wreaking their bloody toll in the ranks of tyranny and treason." (describing an Organization mortar attack on the US Capitol)
"These were no soft-bellied, conservative businessmen assembled for some Masonic mumbo-jumbo; no loudmouthed, beery red-necks letting off a little ritualized steam about "the goddam niggers"; no pious, frightened churchgoers whining for the guidance or protection of an anthropomorphic deity. These were real men, White men... the best my race has produced... combin[ing] fiery passion and icy discipline, deep intelligence and instant readiness for action... They are the vanguard of the coming New Era, the pioneers who will lead our race out of its present depths... And I am one with them!" (describing the Order)
"Today has been the Day of the Rope -- a grim and bloody day, but an unavoidable one. Tonight, from tens of thousands of lampposts, power poles, and trees throughout this vast metropolitan area the grisly forms hang. Even the street signs at intersections have been pressed into service, and at practically every street corner I passed this evening on my way to HQ there was a dangling corpse, four at every intersection. Hanging from a single overpass only about a mile from here is a group of about 30, each with an identical placard around its neck bearing the printed legend, "I betrayed my race." Two or three of that group had been decked out in academic robes before they were strung up, and the whole batch are apparently faculty members from the nearby UCLA campus.(...) The first thing I saw in the moonlight was the placard with its legend in large, block letters: "I defiled my race." Above the placard leered the horribly bloated, purplish face of a young woman, her eyes wide open and bulging, her mouth agape. Finally I could make out the thin, vertical line of rope disappearing into the branches above. I shuddered and quickly went on my way. There are many thousands of hanging female corpses like that in this city tonight, all wearing identical placards around their necks. They are the White women who were married to or living with Blacks, with Jews, or with other non-White males. There are also a number of men wearing the l-defiled-my-race placard, but the women easily outnumber them seven or eight to one. On the other hand, about ninety per cent of the corpses with the I-betrayed-my-race placards are men, and overall the sexes seem to be roughly balanced. Those wearing the latter placards are the politicians, the lawyers, the businessmen, the TV newscasters, the newspaper reporters and editors, the judges, the teachers, the school officials, the "civic leaders", the bureaucrats, the preachers, and all the others who, for reasons of career or status or votes or whatever, helped promote or implement the System's racial program". (The Organization's treatment of Los Angeles after capturing it).
"Then, of course, came the mopping-up period, when the last of the non-White bands were hunted down and exterminated, followed by the final purge of undesirable racial elements among the remaining White population ... But it was in the year 1999, according to the chronology of the Old Era — just 110 years after the birth of The Great One (Adolf Hitler) — that the dream of a White world finally became a certainty." (from the book's epilogue)
(Some white separatists argue that the "White world" actually only refers to the White Western World, not the whole world, but nothing in the text of the book supports this assertion. In fact, a passage near the end of the book describes the systematic bombing of the entire continent of Asia with Weapons of Mass Destruction, with the express purpose of rendering it lifeless.)


[edit] Actions allegedly inspired by the book
To date, a number of actions are alleged to have been inspired by the novel:

At the time of his arrest, Timothy McVeigh, the man convicted for the Oklahoma City bombing, had a copy of The Turner Diaries in his possession. McVeigh's bombing was similar to the event described in the book where the fictional terrorist group blows up FBI headquarters.[1]
The Order, an early 1980s white supremacist group involved in murder, robberies and counterfeiting, was named after the group in the book and motivated by the book's scenarios for a race war. The group murdered Alan Berg, a controversial and outspoken Jewish talk show host, and engaged in other acts of violence in order to hasten the race war described in the book. The Order's efforts later inspired another group, The New Order, which planned to commit similar crimes in an effort to start a race war that would lead to a violent revolution.[2]
John William King was convicted for dragging James Byrd, an African-American, to his death in Jasper, Texas. As King shackled Byrd's legs to the back of his truck he was reported to have said, "We're going to start the Turner Diaries early."[3]
London nail bomber David Copeland read The Turner Diaries while he was a member of the British National Party.[4]
The author's work has been presented on Hezbollah's website. Pierce himself has been interviewed Radio Iran. Pierce said, "We have a common cause: getting the U.S. government off the back of the rest of the world and getting the Jews off the back of the U.S. government. There is ground for joint action." A German official expressed skepticism about long-term cooperation between the groups saying, "I don't see it. They both hate the Jews, but in the end, they also dislike each other."[5]
A copy of The Turner Diaries was found (amidst other Neo-Nazi propaganda) in the home of Jacob Robida, who attacked a gay bar and then committed suicide in 2006. [6]

First and second editions
The Turner Diaries was first serialized in the mid 70's in the National Alliance's tabloid paper, Attack!. The first printing in paperback was May 1978. Pierce originally set his story in the 1980s. Its reprinting (September 1980) came in a slightly altered second edition that moved the setting forward ten years. Although subsequent printings of The Turner Diaries have featured different cover art or back cover copy, they have kept to the second edition text.

In keeping with the new 1990s time frame, events in the past are generally aged by ten years, though not always. Some examples:

Turner's diatribe about the "long string of Marxist acts of terror 10 to 15 years ago" is changed to "20 years ago."
Turner's lament at the success of the System's brainwashing "these past 50 years or so" remains unchanged.
The Order's "nearly 58 years of existence" is increased to 68, making the date of its founding 1925, a reference to the SS.
Turner's astonishment at "how many dark, kinky-haired Middle Easterners have invaded this country in the last decade" is not changed.
The epilogue's exultation that in 1989, "exactly a century after the birth of The Great One... the dream of a White world finally became a certainty", becomes "just 110 years" after Adolf Hitler's birth.
Also to make the book fit its later date, prices are usually doubled, and sums of money are also often doubled, but not consistently. Some examples from the second chapter:

Turner's cell is forced to go underground with only about $37 in their pockets. The second edition changes this to $70.
A note by the future historian tells readers that in Turner's day, a dollar could buy "a half-kilo loaf of bread or about a quarter of a kilo of sugar." The second edition reads two dollars.
Another Organization cell has $200, and helps out Turner's unit with a car and $50. In the second edition, they have $400, but still give $50.
The price of black market gasoline doubles from $5 a gallon to $10.
A robbery nets Turner's unit $1426, described as enough to feed them for "more than two months." This remains unchanged.
The second edition retains one major artifact of the original setting: in the first edition, dates fall on the same day of the week as their real-world 1980s dates. The later edition does not change days of the week, putting them out of sync with their 1990s dates. Another minor change is that a short passage, where Turner's lover spots his Order pendant, is moved a few pages earlier to the end of Chapter X. The first edition also featured illustrations by Dennis Nix. Later printings dropped the illustrations, used a smaller typeface, and switched from bold to italics for emphasis.

10:49 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

That novel seems to be the source of the movie "Devil's Right Hand" :
Hunter is a 1989 novel written by William Luther Pierce, the late founder and chairman of the National Alliance, a white nationalist group, under the pseudonym Andrew Macdonald. Pierce also used this pseudonym to write the better-known The Turner Diaries, a 1978 novel with similar themes.

Hunter portrays the actions of Oscar Yeager (anglicization of jäger, German for hunter), a Vietnam veteran F-4 Phantom pilot and Washington D.C.-area Defense Department consultant who embarks on a plan of targeted assassinations of interracial couples and public figures advocating racial civil rights in the D.C. area. Yeager's activities quickly lead to broad national repercussions and draw him into the plans of both a white nationalist group and an ambitious FBI official to take advantage of the turmoil he has helped to start.

Hunter shares with The Turner Diaries Pierce's depiction of the United States as overrun by liberalism and covertly dominated by Jews. His depictions of, and the attitudes of the protagonists towards, Jews, African-Americans, Latinos, and Asians mirror Pierce's and the National Alliance's ideology. It is notable that Hunter, as compared to The Turner Diaries, reveals more didactically and directly this ideology than did The Turner Diaries. Throughout the book, the protagonist, with whom the reader was likely intended to identify with vicariously, is gradually developing his ideology and perspectives during his campaign and through contact with the allies that he meets.

At the novel's beginning, Yeager is a nonideological racist unattached to anti-Semitism. Much of the story's dialogue consists of discussion and debate on the "Jewish question."




Pierce's rationale
In contrast to The Turner Diaries, Pierce decided to write a "more realistic novel, Hunter, which shifted away from the idea of an organized group to what an exceptional individual can do. Hunter serves a real educational process" (Gardell 2003, 360).


Dedication
Pierce dedicated Hunter to a convicted racist serial killer.

Dedicated to Joseph Paul Franklin, the Lone Hunter, who saw his duty as a White man and did what a responsible son of his race must do, to the best of his ability and without regard for the personal consequences.

Plot summary
The story is presumably set in the United States, during the late 1980s or early 1990s. It begins with Yeager in the middle of a personal campaign of assassination, initially gunning down racially mixed couples in parking lots, before escalating to more sophisticated methods against higher-profile targets, including prominent journalists and politicians that Yeager sees as promoting racial mixing. At the same time, Yeager and his girlfriend are developing connections with a white nationalist group .

After several successful and increasingly ambitious attacks, Yeager is found and confronted by a senior agent of the FBI who himself is disgusted with "Jewish control" of the FBI and the American social situation. This agent blackmails Yeager into assisting him with his career by assassinating several Jewish FBI agents and targeting Israeli Mossad agents in the US so that the agent can be appointed as the head of a newly-formed antiterrorist secret-police agency, assume increasing control of the United States, and use his power to challenge and remove Jewish control of the government and media.

At the same time, Yeager's white nationalist group is achieving greater and greater prominence through the insertion of one of their members into a Christian evangelist television broadcasting ministry, from which he is broadcasting increasingly racially-conscious and anti-Jewish messages. Yeager's campaign of assassination and terrorism, the actions of copycats and imitators, the white nationalist broadcasting effort, the efforts of the antiterrorist official and a rapid decline of the US economy all work to push the United States towards increasing racial and social violence and fragmentation.

Eventually, Yeager is faced with a dilemma when the government official for whom he has been working finally orders him to kill the undercover evangelist minister, whose efforts oppose the agent's intent to establish order and strike a temporary bargain with the Jews. Yeager attempts to avoid the assignment, and then deliberately appears to bungle the assassination. At this point, Yeager is caught between the intentions of his government confederate, who intends to consolidate his own power and control over the government and reform the system from the top down after suppressing upcoming black nationalist riots; and the white-nationalist group who wishes to stir up the chaos even further, draw white Americans into battle, and eventually overthrow the government. Ultimately, Yeager kills the government agent.

Following this, the Jewish-controlled media side with the black rioters, revealing that the government official would have been double-crossed had he attempted to strike his deal. Yeager and the other members of the group, now under increasing government scrutiny, resolve to continue their efforts and to go "underground" to continue the fight against the system.

11:05 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Doit-on tout lire pour comprendre?

11:43 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Hélène Desmarais au conseil de la Société du Vieux-Port


16 avril 2007 - 14h28

LaPresseAffaires.com





Cinq nouveaux membres s’ajoutent au conseil de la Société du Vieux-Port de Montréal, parmi lesquels Hélène Desmarais, présidente du conseil du Centre d'entreprises et d'innovation de Montréal et femme de Paul Jr Desmarais.

Les autres nouveaux membres sont:

- Patrick Kenniff, ancien recteur de l’Université Concordia;

- Tasha Kheiriddin, ancienne vice-présidente de l'Institut économique de Montréal et chroniqueuse pour Les Affaires;

- Bernard Roy, avocat conseil chez Ogilvy Renault et ancien premier secrétaire du premier ministre Brian Mulroney, de 1984 à 1988;




- Claude Thibault, vice-président Finances et chef de la direction financière de NuEra International.

«Je suis ravi que des gens aussi talentueux aient accepté de s'impliquer au conseil», a déclaré Marc Rochon, président du conseil de la Société immobilière du Canada limitée, dont la Société du Vieux-Port est une filiale.

«Ils apporteront un esprit d'engagement communautaire, et nous collaborerons avec eux, puisque notre entreprise abordera la revitalisation et le développement du secteur du sud-ouest Vieux-Port et du centre-ville», a-t-il ajouté.

Créée en 1981 par le gouvernement fédéral, la société du Vieux-Port a le mandat d'aménager et de promouvoir le développement du territoire du Vieux-Port de Montréal.

12:11 a.m.  
Blogger anti-macon said...

Je ne pense pas que Liza frulla et
Louise Baudouin soient lesbiennes mais je les avaient identifiées commes franc-maçonnes. Moi aussi quand j,ai vu leur livre j,ai tout de suite pensé qu'elles s'étaient rencontrée dans la même loge.
Tim mcveigh était semble il FM, selon plusieurs sites et selon le livre codex magica.
Quand au vieux port. La FM est très présente dans le monde des affaires.

8:16 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

réchauffement climatique, vrai ou bidon?
En tous cas cela interesse les loges
David Suzuki avec son geste maconnique
http://www.cyberpresse.ca/article/20070419/CPENVIRONNEMENT/70419194/1025/FRONTPAGE

et la ministre Beauchamps (jeu de la main)
http://www.cyberpresse.ca/article/20070419/CPACTUALITES/70419169/1019/CPACTUALITES

9:20 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Vengence maconnique contre Stéphane gendron? A-t,il trop parlé de son appartenance à la franc-maconnerie?
Après avoir perdu toutes ses jobs dans les médias, maintenant on semble vouloir lui faire perdre sa job de maire.

Des lacunes dans la gestion à Huntingdon

Norman Delisle

Presse Canadienne

Québec

Il y a des «lacunes» dans l'administration municipale du maire Stéphane Gendron, à Huntingdon. Un bilan de ces lacunes est dressé dans un rapport du Service de vérification du ministère des Affaires municipales du Québec, dont la Presse Canadienne a obtenu copie.

Ainsi, le maire Gendron utilise une carte de crédit et un téléphone cellulaire pour les besoins de ses fonctions.

Mais «les sommaires qui doivent accompagner les relevés, selon la procédure en vigueur, sont incomplets. Ils ne sont ni signés par le maire, ni approuvés par la trésorière. De plus, certaines pièces justificatives sont manquantes et certaines dépenses ne sont pas justifiées», mentionne le rapport du ministère.

Par ailleurs, «des achats d'équipements (télécopieurs et téléphones cellulaires) ont été faits par le maire sans utiliser un bon de commande. Ces dépenses auraient dû être effectuées par le directeur général, ou encore être autorisées par le conseil municipal», signale le document ministériel.



On relève le fait que pour les dépenses relatives au téléphone cellulaire, le compte est payé au complet par la ville alors qu'il «n'y a aucune analyse des appels effectués. Il nous est impossible de savoir si ces appels ont été faits pour le compte de la municipalité».

Le maire Stéphane Gendron s'est offusqué de l'enquête et affirme pouvoir justifier toutes les dépenses critiquées par le ministère.

Lorsque le télécopieur municipal s'est brisé, il en a acheté un lui-même avec la carte de crédit de la ville car il fallait parer au plus urgent, a expliqué M. Gendron à la Presse Canadienne.

De même, on a reproché à la ville l'achat de 80 douzaines d'épis de maïs. «C'était pour une épluchette de blé d'Inde tenue au parc municipal pour les 800 employés qui ont perdu leur emploi», a expliqué le maire Gendron. L'événement s'est tenu après que les deux principaux employeurs de l'endroit, deux entreprises de textile, aient fermé leurs portes, laissant 800 personnes sans travail dans cette municipalité de 2600 habitants.

M. Gendron souligne enfin qu'il ne touche pas son salaire annuel de maire — quelque 18 000 $ par année — par souci de faire sa part pour la collectivité. La fermeture des deux usines a créé un trou de 600 000 $ dans les finances municipales, soutient-il.

Enfin, M. Gendron soutient assumer lui-même tous les frais d'appels de son téléphone cellulaire depuis janvier dernier.

Recommandations

Dans le rapport du ministère des Affaires municipales, on recommande à la municipalité d'adopter une politique sur le remboursement des dépenses des élus municipaux. Cette politique devra préciser les règles pour l'utilisation des cartes de crédit et des téléphones cellulaires des élus municipaux. Il faudra aussi que la ville se dote de moyens de contrôle afin de vérifier si les réclamations sont pleinement approuvées et justifiées.

Dans un autre dossier, les vérificateurs du ministère des Affaires municipales ont constaté des «irrégularités» dans la gestion des archives et des procès-verbaux de la municipalité.

Ainsi, il pourrait s'avérer difficile de retracer des documents. De plus, les procès verbaux des réunions du conseil n'ont pas tous été transcrits et approuvés selon les règles.

«Nous recommandons au conseil (municipal) de prendre les mesures qui s'imposent avec diligence afin d'assurer l'intégralité et l'intégrité des procès-verbaux», suggère le ministère.

On signale toutefois que la ville a embauché une nouvelle greffière depuis janvier 2006 pour mettre de l'ordre dans les documents municipaux. Cette dernière a pu mettre à jour plusieurs procès-verbaux des séances du conseil municipal. Une archiviste a aussi été embauchée.

La ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, a reconnu avoir pris connaissance du rapport de son ministère concernant la gestion municipale de Huntingdon.

«On a demandé à la ville d'apporter les correctifs. On recherche la saine gestion des deniers publics. Les municipalités doivent être gérées de façon transparente», a réagi la ministre Normandeau. Cette dernière admet que les lacunes relevées à Huntingdon ne «sont pas graves».

Notons que c'est la deuxième fois depuis deux ans que la municipalité de Huntingdon fait l'objet d'une vérification du ministère des Affaires municipales. Une première vérification, menée en octobre 2005, avait forcé les élus municipaux à apporter une série de correctifs.

La dernière vérification a été faite à la suite d'une plainte reçue au ministère. Le ministère n'identifie pas les plaignants, mais le maire Gendron jure que cette plainte vient d'un adversaire politique.

7:37 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Moi, j'appelerais plus ca avoir une grande gueule et se mettre tout le monde a dos. Il était très bon la-dedans...

9:47 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

les juges son plus haut placer ke lui alors i devrait faire attention puiskquil fait lui meme parti de la fraternite.Avez-vous vu lingenieur a la comissions de la concorde donner le signe maconique du marck master mason pis le procureur donner le sign de la mort si i trahi le clan ...incroyable,une vrai piece de theatre...p.s stes ki lhumoriste pedo?

4:24 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

C'est à force de faire des conneries avec l'outil médiatique, de faire des courses sur l'autoroute, de se vanter de dormir dans un cercueil, de cabaler contre le Libéral Chenière et le pseudo-PQiste Boisclair, tout en se présentant comme franc-maçon. La FM réagit et du harcèlement bureaucratique se charge de l'écraser, ce cave.

Il va peut-être passer par le chemin de croix de Myriam Bédard et conjoint.

7:27 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

J'ai regardé la ministre Beauchamp telle que pointé par l'URL d'antimaçon.

Cela ne semble pas maçonnique. Elle fait comme si elle tenait l'une de ses boules ... ou ceux de Bibeau.

Et puis ses dents sont si jaunes contrairement à la Fine Beauchamp mentonnée des affiches électorales.

C'est donc de la publicité trompeuse. Elle a fraudé mon vote.

8:09 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Justement tenir une boule invisible avec une ou deux mains est un geste maconnique selon le livre "freimauresignale in der presse"

Parlant de signes maconniques, regarder cette photo de robert lepage
http://www.ledevoir.com/2007/04/27/images/une_ca_270407.jpg

Comment le photographe a il fait pour cadrer la face à droite et le doigt pointant à l,extreme gauche?
D'habitude quand on prend une photo, on cadre le visage au centre. Comment le photographe savit il que lepage allait faire ce geste?
Dans le livre il y a plusieurs exemples comme cela justement.
La réponse est qu'il s'agit d'une pose en accord avec le photographe.

4:17 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

C'est pas difficile de prendre une photo comme ca, surtout si tu prends une photo de loin et que tu la coupes comme tu veux avec Photoshop.

Pis la, j'imagine que les conspirateurs vont demander: Ben pourqoi ils l'ont coupé comme ça si c'est pas pour passer un message?

lol

5:05 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

c'est pas mal évident que la photo a été prise de près.
Prendre une photo de loin impliquerait qu'il faudrait ensuite agrandir l'image ce qui réduirait de beaucoup la qualité de l'image, or la photo est ici très nette.
Non, un photographe prend toujours de préférence une photo de près, justement pour la qualité de l'image.
Pour augmenter la netteté de l'image, le photographe va uttiliser un trépied.
Le challenge pour un journal est de publier des photos dynamiques mais nette. Lepage savait qu'il se faisait photographier pour un article donc la mise en scene est ici compréhensible. Ces mises en scene là passent pour un homme de théatre mais quoi dire quand un POLITICIEN fait des photos mises en scene? Je conseille donc à tout le monde de télécharger gratuitement ce fameux livre freimaurersignale in der presse sur emule ou ailleur, jugez par vous même.

7:37 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

le retour du Führer
http://205.205.253.95/lugalle/TheReturn.jpg

notez le geste maconnique

7:47 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Le père de Justin fut jadis pro-nazi...durant la deuxième guerre mondiale.
Il avait parti l'organisation des LX pour expulser les anglophones du Canada.
C'est l'organisation auquel Jean-louis Roux a milité pour.
Trudeau père avait affronté les matraques de la police

8:55 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

pouvez vous svp écrire un article complet sur ces LX? je vais mettre ca sur le site apr;ès

9:37 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

Antimaçon, tu es terrible !!!

J'ai voulu voir de quoi avait l'air le café thélème au 311 Ontario E.

Pas d'enseigne. Une pancarte de l'agence La Capitale.

C'est de ta faute ! Tu as annoncé leur lieu pour des rencontres discrètes. Ils ont fermé leur club.

9:48 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

l'ingénieur du viaduc de la concorde
http://www.cyberpresse.ca/article/20070503/CPACTUALITES/70503076/6159/CPACTUALITES

code maconnique: regard par dessus les lunettes

8:24 p.m.  
Blogger anti-macon said...

liste de francs macons mis à jour mai 2007

politique: René Lévesque, Maurice Duplessis (et oui!), Claude Ryan,
Robert Bourassa (Bilderberg 1971), Pierre-Eliiott Trudeau (Bilderberg
1971-81), Justin Trudeau, Jean Chrétien (Bilderberg), Stéphane Dion
(Bilderberg), Gilles Duceppe, Pauline Marois, Jean Lesage (Bilderberg
1965), tous les ministres de l'éducation du Québec depuis au moins
1960, Paul Martin, Jean Charest, André Boisclair, Gilles Rhéaume,
Bernard Landry, Michel Fortier, Louise Beaudoin,Jean Pelletier, Rita
Dionne Marsolais, Raymond Villeneuve, Mario Dumont et le président de
l'ADQ Gilles Taillon (ex président du conseil du patronat), Robin
Philpot. Philippe Couillard, Jacques Parizeau, tous les chefs des
grandes centrales syndicales,
Françoise David, l'avocat Guy Bertrand, Gérald Tremblay, Michel
Chartrand, Guy Chevrette, Louise Arbour, Michaëlle Jean et sourtout
son mari Jean-Daniel Lafond ce réalisateur Français de films
subventionnés, Brian Mulroney, Marc Bellemare, Liza Frulla, Jean
Lapierre, Pierre Bourgault, Amir Khadir, Daniel Johnson Père (et fils), Yvan Loubier, Jean Dorion (SSJB), louise Harel, Michelle Courchenes,

médias: Céline Dion, Pierre Foglia, Gilles Proulx, Stéphane Gendron
(franc-maçon avoué), Paul Rose (ex-felqiste maintenant réalisateur
de films subventionnés), Guy A. Lepage, Claude Meunier, Danny
Turcotte, André Ducharme, Erik Canuel (réalisateur bon-cop bad cop),
François Avard (réalisateur les bougons), Victor Lévy Beaulieu, Doc
Mailloux, Bernard Derome, Pierre Bruneau, Jean Leloup, Anne Marie
Dussault, Jean René Dufort, Marc Labrèche, Louis José Houde, Gilbert
Rozon, Guy Fournier, Pierre Curzi, Julien Poulin, Jean michel Anctil,
Michel Barette, Laurent Paquin, Éric Lapointe, Guy Richer, André Arthur, Renée-Claude Brazeau,Denis Bouchard, Paul Arcand, Robert Lepage

affaires: Pierre Karl Péladeau, tous les escrocs impliqués dans le
scandale des commandites incluant le juge Gomery, Dick Evan PDG Alcan,
Sylvain Toutant PDG SAQ, André Caillé (hydro-Québec). Alban D'Amours
(mouvement desjardin),

autre: Claude Lajeunesse (recteur concordia), Steven Guilbault (Greenpeace), Roméo Dallaire,

9:17 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Faut ajouter la famille Desmarais de Power. Le père Paul D., puis le fils André D. furent des Bilderbergers

10:42 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

As-tu trouvé des photos de Duplessis ?

Quel signe maçonnique a-t-il fait ?

En tout cas, je serais curieux de savoir pourquoi Duplessis est listé.

2:36 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

duplessis index
http://www.histoirequebec.qc.ca/publicat/vol7num1/image/v7n1pbu2.jpg

tenir ses lunettes dans les mains sur une photo officielle
http://www.assnat.qc.ca/fra/membres/img/d/duplmln.jpg


je suis tombé sur ce site par hasard
http://www.ledevoir.com/histoire/90ans/90_fil.html

les rédacteurs en chef du devoir.
notez les gestes maconniques de certains (cliquez sur les articles our agrandir les photos)

10:58 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

Boisclair est fini, l'ordre vient "d'en haut"
http://www.cyberpresse.ca/article/20070507/CPACTUALITES/70506148/1026/CPACTUALITES

Notez le texte derriere Larose. Il s,agit d'une photo d,archive du temps de la contreverse sur le livret pro souverainieté destiné aux écoliers.
Le code maconnique est carrément décidé par le journal fédéraliste de démarais...

Le docteur Jacques Chaoulli est FM
code du touché des lunettes
http://www.cyberpresse.ca/article/20070507/CPACTUALITES/70507120/6050/CPACTUALITES

Pierre Karl péladeau vient il de prendre du grade maconnique?
D'habitude il faisait des pyramides avec ses bras, maintenant il fait le signe du royal master (index sur la bouche)
http://www.cyberpresse.ca/article/20070507/CPARTS01/70507090/1043/CPARTS01

4:09 p.m.  

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