vendredi, février 16, 2007

Spécial (s)élections 2007

Deux codes maçonniques: regard exagéré vers le haut plus signe OK
Marxiste Laviolette
Mao Duceppe, la décision vient "d'en haut"? "Le bloc s'unira au PQ lors des prochaines élections". 18/02/07
le poing= imposition d'un agenda. "Charest fera campagne sur le thème de l'unité". 18/02/07
Première photo de Dumont pointant de l'index jamais publiée à ma connaissance (signe maçonnique du 18e degré). "Mario Dumont attache le grelot des accommodements raisonnables" (Le Devoir 22/02/07)
Pas de signes maçonniques! Les 3 photos du haut ont été publiées côte à côte sur cyberpresse.ca titre: "Rien n'est joué" (22/02/07) En bas l'original de Mario Dumont montrant son geste maçonnique. Notez aussi comment on a coupé le doigt de Charest en haut.
Regard vers le haut = supplication? Après des sondages désastreux pour le PQ, "Boisclair tire à boulets rouges sur Dumont" (28/02/07)
Mon oeil? Jean Charest reconnaît ses échecs. Cette même photo est aussi utilisée pour un autre article. Titre: "Seul le PLQ peut régler le déséquilibre fiscal, dit Charest". Mon oeil, en effet et un futur échec de Charest, sans doutes. (03/03/07)L'index près de l'oeil est le "dueguard du mark master mason"
Doigt horizontal= "Nous allons dans cette direction" (par rapport au texte). "Charest appelle Harper à l'aide" (pour contrer la popularité de Dumont) Le Devoir (03/03/07)
Un geste maçonnique très clair ici: "Boisclair adopterait un gouvernement réduit". 04/03/07
Signe OK= "bénédiction" maçonnique. Voici Le vice-président de la Commission des droits de la personne qui vient de déposer un rapport sur l'homophobie. Ce n'est probablement pas un hasard non plus. Probablement que l'animateur de radio qui a traité Boisclair de tapette travaille pour la loge péquiste question de donner à Boisclair l'occasion de passer pour une victime. Boisclair va gagner beacoup de vote avec cette histoire là.
la présidente du Conseil du trésor, Monique Jérôme-Forget. "Les libéraux chiffrent les promesses de Dumont" (9/03/07)
Regard vers le haut. Le ministre des finances du gouvernement Harper,James Flaherty, s'ingère dans la campagne électorale québécoise. "Québec obtiendra 2,2 milliards de plus d'Ottawa" 19/03/07/
François Legault donnant le signe du "Most excellent master". Le PQ critique durement le cadre financier adéquiste (langue de bois typique) 20/3/07
Regard vers le haut et jeux de la main (tenir une boule invisible). Le comté baromètre de Saint-Jean voterait ADQ (22/03/07)
Épilogue: Les libéraux sont minoritaires, l'ADQ forme l'opposition officielle et le PQ est recalé au 3e rang. Cette photo de Gérald Larose est apparue sur le site cyberpresse.ca la veille de la démission de Boisclair. L'ordre est venu d'en haut, Boisclair doit quitter. Notez le décor derriere Larose: il s'agit d'une vieille photo d'archive du temps des dépliants du conseil de la souveraineté distribués dans les écoles...

Important: pour les nouveaux, lire ceci avant lien
Première photo: Mario Dumont donnant le regard maçonnique vers le haut accompagné du signe OK (imitation de Jésus Christ) La photo de Dumont date du 16/02/07.
On voit vraiment que son regard vers le haut est forcé et pas naturel. Cela lui donne un air de poisson mort.
Deuxième photo: Marc Laviolette de la CSN et du SPQ libre annoncant sa candidature pour le PQ
(16/02/07).

18 Comments:

Anonymous Anonyme said...

http://www.ledevoir.com/2007/02/16/images/car_160207.gif

6:57 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Harper veut des juges qui pensent comme lui
Hélène Buzzetti
Édition du jeudi 15 février 2007
Mots clés : juges, Barreau, Stephen Harper, Canada (Pays)

L'opposition est indignée, le Barreau estomaqué


Photo: Agence Reuters
Ottawa -- Le premier ministre Stephen Harper a confirmé hier les «pires soupçons» des libéraux fédéraux et d'une bonne partie de la communauté juridique en reconnaissant qu'il modifiait le mode de sélection des juges afin que ceux-ci mettent en application l'ordre du jour conservateur. Sa déclaration a déclenché une tornade de critiques, sans compter que certains ont vite fait d'y voir un lien avec celles, émises en campagne électorale l'an dernier, selon lesquelles la fonction publique et les tribunaux étaient tellement libéraux qu'ils agiraient comme autant de remparts contre son administration. Pour la troisième journée consécutive, les changements apportés par les conservateurs au processus de sélection des juges ont occupé une bonne partie de la période de questions à la Chambre des communes. Dès l'ouverture des hostilités parlementaires, Stephen Harper a donné une réponse qui a soufflé tout le monde.

«Nous voulons nous assurer que nous adoptons des lois qui s'attaquent à la criminalité et rendent nos rues et nos communautés plus sûres. Nous voulons faire en sorte que le choix de nos juges corresponde à ces objectifs», a-t-il déclaré en anglais. Il n'en fallait pas plus pour que le député libéral Michael Ignatieff bondisse. «Le premier ministre a confirmé nos pires soupçons sur cette question.» Les libéraux reprochent aux conservateurs d'avoir nommé une majorité de sympathisants aux comités de sélection des juges afin d'influer sur le type de magistrats qu'on nommera.

M. Harper est alors revenu à la charge en français, avec une réponse similaire mais légèrement modifiée. «Ce gouvernement a établi un processus bien indépendant, avec la participation de plusieurs voix, y compris la voix de la police, qui doit renforcer nos droits. C'est important pour notre gouvernement de sélectionner des juges de haute qualité, ce qui va nous aider à maintenir nos rues et nos collectivités plus sûres et plus sécuritaires.»

Les trois partis d'opposition ont été unanimes à condamner sans retenue le premier ministre. «Le chat sort du sac!», s'est indiqué le chef bloquiste, Gilles Duceppe, à sa sortie de la Chambre. «On fait en sorte de trouver par les mécanismes qu'on met en place des personnes qui vont tout à fait appliquer le genre de politiques que l'on propose», a-t-il dit en établissant un lien avec ce qui se fait aux États-Unis. «Quand Bush est entré, il a choisi des juges qui seraient contre l'avortement, qui seraient contre l'égalité des femmes, qui seraient contre tout ce qu'il y a de progressif, exactement ce que Harper fait: c'est appliquer en justice le même modèle républicain de droite qu'il applique au niveau de l'environnement.»

Au NPD, on parle de position «inacceptable». «Il a dit qu'il pense que les juges doivent être d'accord avec les buts du gouvernement», a lancé le critique du NPD, le député Joe Comartin. Michael Ignatieff a ajouté que, selon lui, «le premier ministre est en train de remettre en question l'impartialité de la magistrature en disant explicitement à la Chambre des communes qu'il cherche des juges qui appuient sa doctrine sur la justice criminelle. Ce n'est pas comme ça que le gouvernement du Canada doit marcher. C'est une erreur capitale».

Les critiques se sont aussi fait entendre du côté des associations juridiques. Au Barreau du Québec, on s'insurge contre cette sortie «assez bouleversante». «Le gouvernement nous annonce qu'il y aura du profilage et il le dit fortement», a lancé le bâtonnier du Québec, Stéphane Rivard, qui, à la blague, a félicité le premier ministre pour son «honnêteté».

Me Rivard déplore que M. Harper confonde les rôles respectifs de la police et des juges. En outre, il a rappelé qu'à peine 20 % des juges nommés par Ottawa seront appelés à présider des causes de nature criminelle. «C'est inapproprié de dire que la sélection des juges doit maintenir l'objectif de réduction de la criminalité parce que c'est très réducteur.»

Le président de l'Association du Barreau canadien, Parker McCarthy, estime, tout comme Me Rivard, que cette déclaration du premier ministre «confirme» ses pires craintes en ce qui a trait aux changements apportés au mode de sélection des juges.

«Les commentaires du premier ministre creusent un fossé par rapport aux attentes des Canadiens envers les juges, a-t-il dit. S'ils sont appelés à comparaître devant un tribunal, les Canadiens veulent l'assurance qu'ils jouiront de la protection d'un juge sans préjugés, qui n'a pas déjà son idée toute faite sur leur cause. S'ils ne croient pas que les juges sont sans préjugés, cela ébranle leur confiance dans l'équité du système de justice.» Selon M. McCarthy, «la division entre l'exécutif, ou gouvernement, et le judiciaire s'estompe de façon fondamentale», ce dont tout le monde devrait se préoccuper.

À l'origine de toute cette controverse se trouve un changement apporté l'automne dernier par le gouvernement fédéral aux comités consultatifs recommandant à Ottawa des candidatures pour les postes de juge. À l'origine composés de sept membres, ces comités en comprendront désormais huit puisqu'on y ajoute une personne issue des rangs policiers. Pour éviter les votes à égalité, le représentant de la magistrature a perdu son droit de vote.

Par conséquent, ce sont désormais les personnes nommées par le gouvernement fédéral (et non plus celles nommées par le Barreau ou la magistrature) qui y détiennent la majorité. Or le Globe and Mail a révélé cette semaine qu'une majorité des membres nommés par Ottawa étaient des proches du Parti conservateur, certains ayant été candidats aux élections, d'autres, chefs de cabinet ministériel.

Les commentaires de M. Harper hier ont vite été assimilés à ceux faits en toute fin de campagne électorale l'an dernier, selon lesquels les Canadiens ne devaient pas craindre une majorité conservatrice parce que les conservateurs ne jouiraient jamais d'une véritable majorité.

«Je peux vous dire qu'il n'y a pas vraiment de majorité conservatrice [possible]», avait-il dit lors de son passage en Beauce. «Il y a un Sénat libéral, des cours nommées par les libéraux et une bureaucratie nommée par les libéraux. Même avec une majorité, c'est impossible d'avoir une majorité absolue pour les conservateurs.» Plusieurs analystes avaient conclu que cette déclaration avait probablement coûté sa majorité à Stephen Harper en ravivant les craintes au sujet de ses prétendues intentions cachées. «L'an passé, en campagne, il disait qu'il y a des contrepoids, entre autres les juges. Alors là, il s'arrange pour choisir les juges. C'est véritablement ça qu'il fait», a rappelé Gilles Duceppe.

Les libéraux ont par ailleurs fait écho aux propos de l'ex-juge de la Cour suprême du Canada, Claire L'Heureux-Dubé, rapportés dans Le Devoir hier, selon lesquels les changements apportés conduisaient à l'américanisation du système judiciaire canadien. «Quelle sera la prochaine étape du plan conservateur? L'élection des juges comme aux États-Unis?», a demandé la députée Lucienne Robillard. Elle a réclamé un débat public sur la question. Le premier ministre a saisi la balle au bond en reprochant à l'opposition de politiser le dossier. «Il est évident que le Parti libéral veut rendre politique le processus de nomination des juges. Le Parti libéral tourne cette question en débat politique. Ce n'est pas en Chambre des communes qu'on doit choisir les juges.»

7:00 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

"Ras le bol" de la dictature
La politique d’enseignement religieux frôle le totalitarisme, selon Mgr Ouellet
Le Soleil
vendredi 16 février 2007



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par Bouchard, Alain - Le cardinal Marc Ouellet, archevêque de Québec, en a "ras le bol" - ce sont ses mots - de la dictature de l’État québécois vis-à-vis l’Église catholique.

"Placer toutes les religions sur le même pied à l’école n’est pas de la neutralité, a-t-il déclaré hier à Québec. C’est plutôt neutraliser la religion de la majorité, celle de 80 % du peuple québécois. Il n’y a que les États totalitaires qui empêchent les citoyens de choisir quoi enseigner aux enfants même dans les écoles privées."

Le prélat de l’Église canadienne a tenu ces propos alors qu’il recevait les médias à un petit déjeuner, à l’archevêché de Québec. "Autant l’Église a jadis été accusée de prendre trop de place au sein de l’État, a-t-il dit, autant c’est aujourd’hui l’État qui envahit les plates-bandes de l’Église."

Monseigneur Ouellet refuse de voir le gouvernement décider de ce qui devrait être enseigné dans les écoles sur la religion catholique, comme le Québec a décidé de le faire avec sa loi 95. "Voilà que l’État s’empare de l’interprétation du phénomène religieux", dénonce-t-il.

"Nous assumons déjà le fardeau financier du patrimoine religieux, dit-il, alors qu’il est pourtant reconnu comme composante intégrante de la culture québécoise. Il y a un an et demi, Hydro-Québec a triplé nos factures d’électricité en mettant fin à ses tarifs préférentiels. Et voilà maintenant que le gouvernement vient nous dire comment la religion devrait être enseignée à l’école. On en a vraiment ras le bol !"

Libre choix

Le cardinal dit comprendre d’autant moins la laïcisation prônée par l’État qu’elle n’est aucunement souhaitée par les groupes religieux autres que catholiques. Ni les musulmans, ni les juifs, ni personne d’autre, plaide-t-il, ne demande de faire disparaître des lieux publics le crucifix et les autres symboles de la culture catholique.

L’archevêque se dit pour le libre choix des parents, qu’ils soient catholiques, protestants, musulmans ou juifs. "Si dans un secteur de Montréal, par exemple, se trouve une forte concentration d’élèves musulmans, je ne vois pas pourquoi ils n’auraient pas de cours sur le coran", dit-il.

Il soutient que l’école doit rester le lieu privilégié de la transmission des valeurs religieuses. Il estime irréaliste de croire que cette formation religieuse puisse s’organiser dans la vie civile, alors que les parents sont déjà essoufflés par le style de vie moderne.

Il demande au gouvernement de prévoir des périodes de temps réservées à la formation spirituelle des enfants ; de rendre optionnel le cours de culture religieuse de la réforme, tant au public qu’au privé ; de suspendre l’application de la loi 95 jusqu’à la conclusion de l’étude Bouchard-Taylor sur la coexistence des religions au Québec.

Le prélat croit que Gérard Bouchard et Charles Taylor ont toute la stature et l’autorité morale voulue pour faire parfaitement le tour de la question.

abouchard@lesoleil.com

7:40 p.m.  
Blogger anti-macon said...

Les catholiques vont ils protester la réforme? Personnellement j'en doute.
Toujours la même raison: le confort et l'indiférence. Le ministre de l'éducation est toujours montré dans le journal en train de faire le signe du poing par rapport à cette réforme. Ce signe signifie l'imposition absolu d'un agenda coûte que coûte. Les francs-maçons sont organisés et résolus tandis que les catholiques sont en plein brouillard. Ils ne savaient sans doute même pas qu'ils ont affaire à la FM. On préfère s'illusioner et protester doucement, croire à la democracy et aux chartres. Pour eux je n'éxiste tout simplement pas.
Citation du bon prélat: "Le prélat croit que Gérard Bouchard et Charles Taylor ont toute la stature et l’autorité morale voulue pour faire parfaitement le tour de la question." hahahahahahahaha.
le frère de Lucien Bouchard??????
Le problème avec le clergé actuel est qu'ils sont tellement disconnecté du peuple. Ils vivent dans des domaines somptueux à aunhsic et ailleurs, ils fréquentent uniquement les bourgeois de l'opus déi.
Pour eux je suis un moins que rien, un gueux, une non-entité. Ils ont peut-être des infos juteuses sur la FM (j'en doute) mais jamais ils ne les posteraient ici, même de façon anonyme. Vous savez pourquoi? Parce que les FM sont eux aussi leurs voisins bourgeois. Ils doivent se rencontrer souvent à l'opéra et dans les salon chics.
Dommage pour vous cher clergé car les FM ne vont pas s'arrêter là!
Ils vont finir par vous taxer et vous faire perdre toutes vos belles résidences!
appeler vous ce que Jésus a dit: Les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers.
peut-être que quand vous aurez atteint mon (faible) niveau social, vos neuronnes vont commencer à se dégraisser.

9:34 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

hahah je m'en rappelle cette phrase de Jesus, mais ne la comparez pas a votre statut social, puisque cette parabole ne signifie ni plus ni moins l'ordre des choses du point de vue métaphysique. Pour votre instruction personnel, sachez que cette phrase veut dire que ceux qui se pense les premiers sur terre, seront les derniers au paradis (facon simple d'expliquer la parabole mais bon)... et bien sur d'un point de vue intellectuel et non de votre condition sociale.

La définition des castes de l'hindouisme est pas mal plus a propos par rapport a votre niveau social.

Ho scusé moi.. c'est vrai, le franc-macon que je suis ne devrait pas être en accord avec la sainte bible.. puisque nous sommes tous des sataniques.

9:57 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Les Catholiques. C'est quoi çà?

J'ai été élevé avec la revue Héraut et la bible jusqu'au primaire. J'avais de l'avance sur les cours d'enseignement religieux. Puis je m'étais abonné à Pif Gadget, revue produite par des éditions communistes françaises. Cela a reformaté mon esprit. Je me destinais à la prêtise, mais devint athé.
Moi qui apprit d'abord mon histoire nationale dans l'Épopée Canadienne, je l'approfondit avec le Boréal Express.
Je devint nationaliste plutôt radical et Simon Bolivar serait plutôt un héros.
Le peuple Québécois m'a profondément décu en 1980.
Il m'est arrivé par la suite une collision spirituel qui me fit douter de mon athéïsme et de mon anticréricalisme.

Maintenant je me méfie autant des anticléricaux que j'ai pu me méfier du clergé. Je crois que l'État-Providence en qui nous plaçions toute notre foi ne fait pas mieux que l'Église. Je dois être cynique de croire en son écroulement et une vague de poursuites envers les anciens fonctionnaires.

Moi, dont l'esprit fut maçonné (façonné par les franc-maçons), je clame haut et fort que les tenants de la Raison et du laïcisme ne font que nous mener dans l'ignorance, le prêt-à-penser dirigé et la consommation irréfléchi, la déphilosophisation de l'être.

Je réalise que les FM ont former les Libéraux, qui se sont répandus en mouvements terroristes du XIX siècle.
D'abord les EUA, puis la France, les Amériques avec Bolivar. Suivi des Troubles au Canada et de Mazzini en Italie. Suite à l'échec de Mazzini, le FM Giuseppe Garibaldi deviendra le Che Guevara du sud brésilien (Uruguay et Rio Grande del Sul).
Des Jeunes-Italiens viendront des franchises dans les Balkans contre les Ottomans. Et le FM écossais Byron suivra la rebellion grecque. Puis les FMs pénétrèrent la soldatesque turque formé des janissaires (yeni seri -- nouveaux soldats) originaires des Balkans. D'où Kemal Pacha, Albanais d'origine et le mouvement Jeunes-Turcs.
Le reste de l'Empire Ottoman renverse le Califat et se laïcise à l'occidental.
Il ne faut pas s'étonner des liens priviligiés entre le Parti Liberal du Canada et la Turquie et de son refus de reconnaître le génocide arménien. De même, on pourrait prolonger ce lien avec la relation privilégiée avec le Turkménistan ex-soviétique.
Des libéraux radicaux sont issus les marxistes. Karl Marx s'est réfugié à Londres, protégé par la franc-maçonnerie, pour y faire le centre de propagation international (sanctuaire terroriste).
Les libéraux ont suscité la révolte Taïping en Chine. Mais l'Occident s'est plaçé du côté de Pékin pour renverser la révolution TaïPing. Résultat: la population chinoise serait tombée de moitié. Le système économique y fut détruit et les Occidentaux s'attribuèrent des concessions. L'instabilité chinoise provoqua des séries de révoltes, alimentées par les Triades sous influence des Libéraux de l'Occident. Sun Yatsen est issu de ces Triades

11:01 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

La Commission Bouchard-Taylor déjà pleine d’écueils
Frédéric Tremblay
Cyberpresse
mercredi 14 février 2007



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Les deux imminents penseurs québécois, Gérard Bouchard et Charles Taylor, retireront bientôt le lourd couvercle de la marmite dans laquelle mijote temporairement le débat sur les accommodements raisonnables. Les travaux de la Commission Bouchard-Taylor, qui s’amorcent sous peu, sont pleins d’écueils, dont certains ont surgit dans le débat sur les accommodements raisonnables qui fait rage depuis quelques mois.

Dans le présent texte, nous présenterons trois de ces écueils et suggérerons quelques pistes de solution afin de les éviter.

La médiocre couverture médiatique

Le premier, et sans contredit le plus dangereux, écueil qui guette la Commission Bouchard-Taylor est la couverture médiatique dont elle fera l’objet. Dans le débat actuel sur les accommodements raisonnables, les positions des uns et des autres se fondent sur des faits divers ou des anecdotes révélés à la une des journaux et des bulletins de nouvelles bien plus que sur des expériences vécues ou des études empiriques. Or, malheureusement, les journalistes québécois participent en ce moment à une surenchère médiatique mue par la recherche de la mesure d’accommodement la plus scandaleuse. Cette démarche journalistique se fait au détriment de la recherche de la vérité, de la compréhension des nouvelles et sans se soucier des règles de l’art en vigueur.

L’exemple le plus éloquent est la nouvelle publiée le 16 novembre 2006, par le journaliste Djibril Diallo du Journal de Montréal, selon laquelle le CLSC Parc-Extension interdit aux hommes de suivre des cours prénatals afin d’accommoder des femmes musulmanes, hindoues ou sikhs, qui désirent suivre ces cours sans la présence d’hommes. Selon le même article, les couples refusés par le CLSC Parc-Extension devaient se rendre dans un autre CLSC, après avoir payé 50$, pour recevoir le même cours, sans pouvoir choisir la langue d’enseignement. À la lecture attentive de l’article, il ressort que ces informations ne sont appuyées par aucune source. De plus, le journaliste conclue l’article en précisant que Marc Sougavinski, directeur général du CSSS de la Montagne, auquel est rattaché le CLSC Parc-Extension, niait l’existence de telles pratiques.

Aussitôt publiée, cette nouvelle se répand comme une traînée de poudre ; elle est publiée, radiodiffusée et télévisée dans tout le Québec. Or, dans presque tous les médias - les sites de Radio-Canada et Cyberpresse en sont des bons exemples - l’information rapportée ne mentionne pas le fait, et ce n’est pas un détail anodin, que le directeur du CSSS auquel est rattaché le CLSC Parc-Extension nie catégoriquement que la dite mesure d’accommodement ait existée. Les politiques et directives administratives du CLSC émanent de sa direction, dont monsieur Sougavinski est le représentant officiel.

La plupart des médias ne font que propager une nouvelle contredite par la personne en autorité dans l’institution publique concernée sans même vérifier avec cette personne si la mesure d’accommodement décriée a existée. Les médias ne cherchent pas ici à connaître la vérité, ils désirent attirer l’attention sur le sujet de l’heure.

Le premier mandat de la Commission Bouchard-Taylor est de dresser un portrait fidèle des pratiques d’accommodements reliées aux différences culturelles. Cet exercice risque de se transformer en véritable cirque médiatique alimenté par la recherche de la mesure d’accommodement la plus déraisonnable. Un tel dérapage médiatique entrainera deux conséquences néfastes pour la Commission. D’une part, la recherche d’accommodements déraisonnables va obnubiler les autres aspects importants des travaux de la Commission et, d’autre part, discréditera encore davantage aux yeux de plusieurs Québécois et Québécoises la notion juridique et complexe d’accommodement raisonnable.

Nous souhaitons fortement que le portrait que dressera la Commission Bouchard-Taylor soit fondé sur une enquête sérieuse et fouillée visant à établir la vérité pour ce qu’elle est, et non pas pour ce que certains souhaiteraient qu’elle soit.

La division

Déjà, une certaine division est perceptible au Québec entre les personnes plus tolérantes et favorables aux accommodements raisonnables et celles qui y sont plus réfractaires. D’ailleurs, le chef de l’ADQ, Mario Dumont essaie d’accentuer ce clivage et d’en tirer profit pour ce faire du capital politique. Cette division pourrait facilement se déplacer devant les audiences qui seront tenues par la Commission Bouchard-Taylor et, ultimement, envenimer les relations entre des immigrants ou des groupes d’immigrants et des individus ou groupes de la société d’accueil.

Pour l’avenir du Québec, particulièrement pour sa stabilité sociale, il faut essayer de briser cette division. Afin d’y arriver, les travaux et le rapport de la Commission devront absolument être le plus rassembleur possible et recevoir un appui qui transcende les classes sociales, l’origine ethnique, les générations, le sexe, l’appartenance religieuse, etc. Pour faire comprendre les résultats de leurs travaux, les deux commissaires devront écouter attentivement, prendre le temps de réfléchir, et, finalement, convaincre et expliquer leurs constats et recommandations. Le fait que la Commission tienne des consultations partout au Québec est déjà un pas dans la bonne direction. À la fin des travaux de la Commission, il serait sans doute souhaitable que les deux commissaires refassent le tour du Québec pour présenter et expliquer leurs conclusions et recommandations.

Des notions juridique trop compliquées

Le cadre juridique actuel, duquel émane la notion d’accommodement raisonnable, découle des décisions de la Cour suprême du Canada. La multitude de situations qualifiées, à tord par de très nombreuses personnes, « d’accommodement raisonnable » démontre à quel point ce concept jurisprudentiel est mal compris. L’incompréhension résulte, en partie, du haut niveau de complexité des règles et balises établies par le plus haut tribunal canadien. Malheureusement, la confusion discrédite, au point où plusieurs s’en moquent maintenant, la notion même d’accommodement raisonnable.

Pour remplir le troisième mandat que lui a confié le gouvernement du Québec, la Commission Bouchard-Taylor devra proposer des recommandations établissant les pratiques d’accommodements respectueuses des valeurs communes des Québécois. Il faut espérer que ces recommandations soient claires, simples et d’application facile.

Le succès de la Commission Bouchard-Taylor se mesurera à sa capacité à éviter ces écueils, et bien d’autres.

Frédéric Tremblay, avocat

11:04 p.m.  
Blogger anti-macon said...

Bon texte, big caat. Toi et moi avons le même cheminement.
Dans le fonds, quand on y pense, c'est léglise catholique qui a engendré la FM en persécutant les templiers. Ces même templiers qui l'avaient si bien servie pour massacrer les infideles!
Que penserait Jésus de cette église catholique? Probablement qu'ils les traiteraient de Pharisiens.
Allez parler de conspirations à un bon catholique si vous voulez perdre votre temps et faire rire de vous. Par contre allez parler de conspiration à n'importe lequel musulman! La différence est que la grosse majorité des catholiques n'ont jamais lu une ligne de la Bible tandis que les musulmans eux n'ont pas de papes ni de clergé!

11:04 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

Ce que les protestants reprochent aux catholiques, c'est de croire la Parole sortant de la bouche du prêtre.
Qu'il fallait plutôt apprendre à lire et lire la religion à la source, i.e. la Bible.
Et le Protestantisme s'est propagé avec l'invention de Gutenberg, qui retirait le monopole de la Vérité aux clercs.

Le revers est que chaque lecteur y allait de sa propre interprétation, ce qui engendrait différents courants de pensée, influencé par le fond culturel des lecteurs. Si le Luthéranisme sur fond germanique nationaliste est relativement uniforme en Europe du Nord, il y eut variétés de calvinistes et d'anabaptistes. Les calvinistes de France ont grandi dans le terreau des Cathares et ont repris plusieurs termes.
Les valdoistes d'Italie devinrent aussi calvinistes. Ils seront chassés d'Italie vers la Suisse. Bref une mosaïque de sectes protestantes existent.
Il faut comprendre les guerres de religion d'Europe et les tentatives de tolérance religieuse et de coexistence pour comprendre les concepts de développement séparé et d'élites gouvernant des castes inférieures de religion différente, pour comprendre la montée de la FM

5:41 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

http://www.cyberpresse.ca/article/20070223/CPOPINIONS/70223095/5290/CPOPINIONS

2:16 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Concernant:
http://bp1.blogger.com/_X_s5dkKJ9SQ/ReuWFupCI1I/AAAAAAAAADQ/8l6lcBvW0PQ/s1600-h/3.JPG

Je me rappelle d'une pose similaire du pape Jean-Paul II. Et les humoristes en ont fait une blague comme une histoire de poisson ou sur la longueur de sa kéquette.

9:40 a.m.  
Blogger EricCartman2005 said...

Qui va être le pion du pouvoir occulte le 26 mars prochian?
J'aimerai avoir votre point de vue.

Moi je crois les péquistes minoritaires.

6:45 p.m.  
Blogger anti-macon said...

Qui va gagner?
regarde la derniere photo que je viens d'ajouter. Héhéhéhé, tiens donc, voila qu'un rapport sur l'homophobie vient à la rescousse de Boisclair. Et si toute cette histoire avec cet animateur de radio qui avait traité Boisclair de tapette était un coup de la loge péquiste pour créer de la sympathie?

7:13 p.m.  
Blogger EricCartman2005 said...

Boisclair, je m'y attendais,çaa me surprenderai pas. Le pouvoir rose ne lâcherai pas une occasion de prendre officiellement le pouvoir. Ceci veut dire un référendum dans moins de 2 ans.

L'affaire, va t'il être majoritaire où pas?

8:49 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Le mardi 13 mars 2007


Tiré du journal officielle de La Patente
d'après un reportage dans une terre de prédilection de la Franc-Maçonnerie et le berceau de la conférence de Bilderberg.




Après la carte à puce, le bar à puce



La Presse

Rotterdam

Une fois passé la porte en forme de ballon de plage, on trouve au Baja Beach Club des planches de surf, des palmiers artificiels, des serveuses en bikini, des barmans adeptes de bodybuilding et... des puces.

Elles ne se cachent pas dans le sable de cette grande discothèque d'inspiration tropicale de Rotterdam, aux Pays-Bas, mais plutôt dans le bras de certains habitués qui ont choisi de se faire implanter un discret dispositif de la taille d'un grain de riz utilisant la technologie d'identification par radiofréquence RFID.

Il leur permet d'être reconnus automatiquement à l'entrée et de payer leurs consommations sans avoir à sortir leur carte bancaire ou leur argent. Les serveuses passent un appareil de lecture à proximité du bras du client et le numéro d'identification ainsi obtenu est entré dans un ordinateur pour accéder à son dossier et débiter son compte.

« Je suis une personne qui aime avoir des choses que les autres personnes n'ont pas », explique Arno Gerbscheid, jeune homme de 34 ans qui fut l'une des premières personnes à recevoir la puce en question.







Elle est introduite sous la peau par injection et demeure invisible par la suite. « Les réactions sont très variées quand les gens apprennent que j'ai une puce comme ça. Certains veulent savoir de quoi il s'agit exactement, d'autres pensent que c'est complètement fou », souligne M. Gerbscheid, qui ne s'émeut pas outre mesure de sa décision.

« J'ai aussi deux vis chirurgicales dans un genou. Ce n'est pas très différent », affirme-t-il.

L'un des propriétaires de l'établissement, Jo Van Galen, affirme que l'idée leur est venue alors qu'ils cherchaient une façon originale d'identifier les clients voulant se doter d'un statut de VIP.

« Ces puces sont obligatoires aux Pays-Bas pour permettre d'identifier les animaux égarés. On s'est dit : " Pourquoi ne pas installer une puce comme pour les chiens? " On a ri d'abord mais l'idée a fini par faire son chemin », relate-t-il.

Le gouvernement lui-même s'est penché sur la question avant de finalement donné son aval au bar, qui a fourni en deux ans des puces à 70 clients et plus d'une trentaine de ses employés. Chaque client a accepté de payer 1000 euros pour subir l'intervention, qui est pratiquée par un médecin, avant de recevoir un crédit de 1500 euros au bar.

L'idée a fait sensation dès le premier jour, souligne M. Van Galen, qui dit avoir reçu des journalistes des quatre coins du monde. « Nous n'avons jamais imaginé que ça aurait un tel écho », souligne l'entrepreneur de 44 ans.



Réticences



L'usage de la technologie RFID est en pleine expansion en Europe, où elle est surtout utilisée pour l'heure afin d'étiqueter des produits et faciliter la gestion des stocks. On estime que le nombre d'étiquettes de ce type en circulation, qui était de l'ordre de 600 millions en 2005, va être multiplié par 450 d'ici 10 ans.

Bien que l'implantation chez l'être humain demeure marginal, les applications ne cessent de se diversifier. En Grande-Bretagne, une petite municipalité s'est récemment attiré les foudres de la population en installant dans les poubelles roulantes des puces permettant de préciser le poids des déchets générés. La Norvège expérimente avec un réfrigérateur « intelligent » qui enregistre l'entrée et sortie des aliments.

En France, la Commission nationale informatique et libertés a fait une mise en garde sur l'usage de la technologie RFID, relevant qu'elles pouvaient potentiellement permettre « le profilage » de la population.

La Commission européenne a lancé pour sa part en 2006 une vaste consultation publique sur le sujet. La moitié des participants ont indiqué qu'ils jugeaient nécessaires de resserrer les lois pour mieux protéger la vie privée et les données personnelles.

Jo Van Galen, lui, lève les yeux au ciel lorsqu'on lui parle des dérives possibles. « Personne ne semble faire confiance à la technologie... Moi, je veux l'utiliser à des fins plus ludiques », souligne le propriétaire du Baja Beach Club, qui promet l'ouverture prochaine d'une nouvelle salle où les puces des clients permettront d'activer à distance divers systèmes de son et de lumière.

Il ne doute pas pour autant que l'usage de telles puces soit appelé à se généraliser. « D'ici 10 ou 15 ans, tout le monde en recevra une dans le cou à la naissance », souligne le coloré personnage, en mimant une injection avec ses doigts.

6:56 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Une nouvelle complètement occultée par nos merdias: Charest a parlé devant linstitut économique de Montréal le 15 mars et Dumont le 16 mars.

10:34 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

Trove donc la photo ou Boisclair pointe du dos Dumont lors du debat.

3:18 p.m.  
Anonymous Anonyme said...

L'Adq FORME L'OPPOSITION OFFICIEL.

Charest est pm minoritaire

bOISLCAIR EST out.

12:13 p.m.  

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